- Kirk Muller devrait avoir HONTE...
- Il n'a pas appris deux mots de français après tout ce temps au Québec..
- Alors que Georges McPhee...
- Le PRÉSIDENT de Vegas...
- Est en train de l'apprendre..
«J’ai toujours trouvé que c’était une belle langue et qu’il me manquait quelque chose en ne la parlant pas. Je crois qu’en tant que Canadien, c’est ma responsabilité, je devrais être bilingue. Si je ne l’apprends pas maintenant, je ne le ferai jamais. C’est le moment. En plus, il y a plein d’applications en ligne qui sont très utiles.»
«C’est un programme un peu interactif, mais pas beaucoup. Ce n’est pas comme discuter avec des francophones. J’essaie de développer une bonne base, ce qui devrait m’aider quand je serai prêt à discuter avec les gens.»
«J’apprends par étape. Plus j’avance, plus c’est difficile, dit-il. Je dois vraiment être reposé et complètement concentré pour entamer mes leçons. Il y a des leçons qui sont plus faciles et je me sens alors confiant."
«Le lendemain, plus rien ne fait du sens et je me sens complètement mêlé. Mais je persévère, j’essaie d’apprendre les définitions des mots, je fais des dictées trouées. C’est intéressant, il y a des choses dont je me souviens du primaire. Le plus grand défi, c'est qu’à l’école, on apprenait le français du Québec. Mon application, c'est le français de la France. Ça me complique la vie un peu. Ça fait vraiment travailler mes méninges, mais c’est un défi qui m’excite. Je ne vais jamais abandonner.»
«J’ai appris un peu le français à l’école primaire comme tout le monde. J’ai joué avec André Latreille pendant quatre ans lorsque j’étudiais à l’Université Bowling Green, en Ohio. Il essayait toujours de nous apprendre quelques mots. J’ai toujours apprécié ça.»
«J’ai eu beaucoup de plaisir avec Pierre Larouche lorsque je jouais avec les Rangers de New York. Ce que j’ai le plus de plus apprécié de lui était son amour pour le hockey. C’était un homme fier de ses origines et il aimait parler!"
«Je me souviens d’une année, les Rangers ont fait un gros ménage. Ils avaient changé les entraîneurs et le noyau de joueurs. Pierre avait passé la majeure partie de la saison à Hershey, dans les mineures. Lorsqu’il a été rappelé, il a été fantastique. Il était notre meilleur joueur et nous avait porté sur ses épaules en séries.»
«Marc-André Fleury, c’est un gardien de but de l'élite, a dit McPhee. Il apporte le leadership que tu souhaites dans une équipe. Son éthique de travail donne l'exemple aux autres. Personne ne travaille plus fort que lui. Il n’y a jamais rien de compliqué avec Marc-André. Quand tes meilleurs joueurs sont si facile d’approche et sont des bourreaux et travail, ça force les autres à faire de même.»
- Sans oublier les Jonathan Marchessault, William Carrier et Nicolas Roy.
«Ce qu’ils ont tous en commun, c'est qu’ils sont hyper compétitifs. Nicolas va devenir un excellent joueur de hockey. Marchy (Marchessault) a été vraiment, vraiment bon depuis qu’il s’est amené à Vegas. Il est le meilleur pointeur de l’histoire de l'organisation. Nous sommes chanceux de l’avoir. Tous nos Québécois apportent une dimension spéciale à l'équipe. Ils travaillent avec acharnement et ils s’impliquent dans la communauté. Ce sont de vrais gentlemen.»
«Chaque fois que tu peux parler à un joueur dans sa langue natale, il va automatiquement se sentir plus à l’aise. Il y a des joueurs avec lesquels j’aimerais m’asseoir et parler avec eux, mais je ne veux pas leur imposer ça, a-t-il avoué. Une fois de temps en temps, je fais un commentaire en français.
«C’est drôle parce qu’il y a quelques semaines, je sortais de notre centre d’entraînement et Jonathan Marchessault avait une nouvelle voiture vraiment superbe. Je lui ai demandé combien elle lui avait coûté... en français. Il m’a regardé avec des gros yeux et il a dit: “va falloir que je fasse attention à ce que je dis dorénavant!”»
«Je souhaitais prendre des vacances cet été dans un endroit complètement français et vivre une immersion de la langue et de la culture. J’avais vraiment hâte au repêchage à Montréal cette année.»