Juraj Slafkovsky est un fantôme sur la glace...mais une bombe hors de la patinoire...
Il fallait le voir cet après-midi.
Ou plutôt, il ne fallait pas le voir, parce que franchement, il était encore une fois invisible. Un colosse de 6 pieds 3 pouces, 230 livres, qui tombe sur le derrière dès qu’un adversaire le frôle.
Un joueur supposé dominer physiquement, mais qui ne score pas, ne frappe pas, ne crée rien. Un premier choix au total qui, au lieu d’imposer sa loi sur la glace, semble ailleurs, perdu dans ses pensées, ou peut-être ailleurs… avec quelqu’un d’autre.
Parce que pendant que Slafkovsky est invisible sur la glace, sa blonde, elle, est bien réelle. Et surtout, elle est partout.
Angélie Bourgeois-Pelletier, une mannequin à la beauté incendiaire, une présence magnétique, une femme qui attire les regards comme un aimant. (voir les photos au bas de l'article)
Pendant que le Slovaque se débat avec son bâton, sa copine fait monter la température dans le nightlife montréalais.
Tout Montréal parle d’elle. Tout Montréal ne parle plus que d’elle. Slafkovsky, lui? On dirait qu’il est devenu un accessoire dans sa propre histoire. Un figurant dans le film de la femme fatale qui fait tourner toutes les têtes.
C’est un classique. Un joueur distrait, un joueur qui se perd dans autre chose que le hockey.
Parce que quand on regarde Slafkovsky aujourd’hui, on ne voit plus un premier choix au repêchage. On ne voit plus une future superstar. On voit un gars qui a d’autres choses en tête.
Et c’est là le problème. Le hockey, ça ne pardonne pas. Pendant que sa copine fait tourner les têtes, d’autres joueurs, plus affamés, plus sérieux, plus concentrés, prennent sa place.
Et pendant que sa blonde est sur toutes les lèvres, ce sont ses propres mouvements qui sont analysés, critiqués, décortiqués. Et franchement, il n’y a pas grand-chose à voir.
Parce qu’en ce moment, Slafkovsky n’est pas sur les lèvres des partisans pour ses exploits sur la glace.
Mais sa copine, elle, l’est.
Et quand une bonde fait autant parler qu’un joueur du Canadien, ce n’est jamais bon signe. L’histoire récente de l’équipe l’a prouvé, et Juraj Slafkovsky est peut-être en train de s’aventurer sur un terrain glissant.
Il suffit de se rappeler d’Alex Galchenyuk et Chanel Leszczynski. Leur relation avait fait la une des médias montréalais, au point où le jeune attaquant en était venu à être défini autant par sa vie hors glace que par ses performances sur la patinoire.
Une copine omniprésente, un nightlife trop intense, des tensions qui débordent dans la sphère publique… et tout s’est effondré.
Galchenyuk, jeune attaquant prometteur, en couple avec une femme au passé trouble : une danseuse du cabaret Les Amazones, congédiée pour violence envers un client, et une relation qui a bifurqué vers le chaos.
Le point de non-retour ? Cette fameuse soirée où Galchenyuk avait organisé un party dans son condo en présence de plusieurs coéquipiers, dont Devante Smith-Pelly.
Une dispute a éclaté avec Chanel, et elle est revenue furieuse sur les lieux. Dans un moment de rage incontrôlée, elle lui a brisé le nez, forçant les invités à appeler le 9-1-1.
La police est intervenue, l’affaire a fait les manchettes, et les médias ont commencé à creuser. Ils ont découvert le passé trouble de Chanel, son renvoi des Amazones, et sa réputation sulfureuse.
À partir de ce moment-là, Galchenyuk n’a plus jamais été le même. Sa carrière a pris un tournant négatif, son engagement a été remis en question, et il a glissé vers la sortie de la LNH après des années d’inconstance et de décisions douteuses.
C’est exactement ce genre de scénario que le Canadien veut éviter avec Slafkovsky.
Mais attention. Angélie Bourgeois-Pelletier n’a rien à voir avec Chanel Leszczynski.
D’abord, elle n’est pas danseuse, et son nom n’est jamais apparu dans des histoires sombres. C’est une mannequin reconnue, une femme qui a de la prestance et du charisme.
Contrairement à Chanel, elle n’a pas de passé problématique, et il n’y a aucune controverse connue autour d’elle.
Si Chanel Leszczynski faisait tourner les têtes à l’époque, Angélie Bourgeois-Pelletier est carrément devenue un phénomène.
À 20 ans, avec 60 millions $ qui tombent dans ses poches dès l’an prochain, Slafkovsky devrait être en train de dominer la LNH. Mais au lieu de cela, on parle plus de sa blonde que de ses performances.
Et ça, c’est une pente glissante.
On l’a vu encore ce aujourd'hui : Slafkovsky est inexistant. Surtout, il semble totalement ailleurs.
Et pendant ce temps, sa copine est partout.
Les partisans le voient bien. Les médias en parlent. Les comparaisons avec Galchenyuk commencent à se faire entendre.
Même hier, lors du show du matin à BPM Sports, les animateurs ont Gilbert Delorme, Anthony Desaulniers et Max Lalonde ont parlé du hors-glace de Slafkovsky et ont fait le lien avec Galchenyuk.
L’histoire va-t-elle se répéter?
À Montréal, les distractions sont nombreuses. Les tentations sont partout. Et un jeune joueur peut facilement perdre le fil.
Ce n’est pas un hasard si les plus grands joueurs de l’histoire du CH ont tous eu des relations discrètes, avec des femmes qui ne cherchaient pas la lumière.
Et c’est là où Slafkovsky doit faire un choix.
Veut-il être une star du hockey ou une star du nightlife?
Parce que si Angélie Bourgeois-Pelletier continue d’être sur toutes les lèvres, Slafkovsky pourrait bien disparaître du paysage du Canadien plus vite qu’il ne l’aurait cru.
![La blonde de Juraj Slafkovsky fait tourner les regards](https://static.hockey30.com/media/2025/02/1200x800/la-blonde-de-juraj-slafkovsky-fait-tourner-les-reg-8384.webp)
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