Le récent comportement de Maxim Lapierre semble indiquer qu'il influencé lpar le nom de la Poche Bleue, son balado.

Malheureusement, cette fascination semble avoir influencé son jugement, notamment lorsqu'il s'agit des Québécois évoluant pour le Canadien de Montréal.

Lapierre semble avoir développé une préférence excessive pour les joueurs de sa province natale, allant même jusqu'à remettre en question les décisions de l'équipe concernant leur affectation.

Il est évident que Lapierre croit fermement en l'importance des Québécois dans l'équipe de Montréal. Dans son esprit, il semble inconcevable qu'un joueur québécois soit renvoyé à Laval alors qu'il aurait probablement gardé le silence si la situation avait concerné un joueur d'une autre province ou d'un autre pays.

Cette partialité envers les joueurs québécois est devenue si prononcée chez Lapierre qu'il semble considérer tout Québécois comme une sorte de huitième merveille du monde du hockey.

Cependant, la réalité est bien différente de la perception de Lapierre. Dans le cas de Brandon Gignac, son renvoi à Laval ne peut être simplement attribué à son origine québécoise.

«Je n'aime pas ça. Même s'il n'est pas flamboyant, j'aime la vitesse de Gignac. Je trouve que c'est un gars qui a un certain potentiel. Je ne sais pas ce qu'on veut faire avec White, mais je peux te garantir que je ne vais pas acheter son chandail.» (crédit: TVA Sports)

«Il comble quel besoin? Il a zéro point cette année. Il va remplir quel rôle? Ça prenait un autre fantôme pour aller avec Armia et Anderson. On a maintenant un trio de fantômes.»

Gignac n'a tout simplement pas réussi à s'imposer dans l'alignement du Canadien. Son talent et ses performances n'étaient tout simplement pas à la hauteur des attentes de l'équipe. C'est une réalité du sport professionnel que Lapierre semble avoir du mal à accepter.

En fin de compte, la passion de Lapierre pour les Québécois dans l'équipe de Montréal peut être louable dans une certaine mesure, mais elle ne doit pas obscurcir son jugement sur les performances individuelles des joueurs.

Les décisions de l'équipe sont basées sur des critères objectifs visant à maximiser les chances de succès de l'équipe, et non sur des considérations régionales ou nationales.

Espérons que Lapierre pourra prendre du recul et évaluer les choses de manière plus équilibrée à l'avenir.

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