À Las Vegas, une tempête de colère gronde silencieusement dans le cœur d'un homme.
Jonathan Marchessault est en furie de l'arrivée de Tomas Hertl à Vegas, une nouvelle qui a déclenché une série d'événements menaçant de bouleverser l'équilibre fragile de son monde.
L'ancien défenseur de la LNH, Ryan Whitney, du balado "Spittin Chiclets", révéle les profondes fissures dans les relations au sein de l'équipe des Knights.
Le Québécois, Jonathan Marchessault, est au centre de cette tourmente. La perspective de voir Hertl prendre sa place sur la glace et sur la masse salariale est une pilule amère à avaler pour Marchessault, et la perspective de devoir se contenter de quitter Vegas cet été via le marché des agents libres devient évident.
Il est clair que Marchessault médite sur son avenir avec une amertume grandissante. Il a donné son cœur et son âme à l'équipe de Vegas, menant les Knights vers la Coupe Stanley et gagnant le Conn-Smythe.
Mais maintenant, il se sent trahi, relégué au second plan par l'arrivée imminente de Hertl. L'affirmation de Kent Hughes de ne pas surpayer un vétéran cet été concerne-t-elle Marchessault?
Accepter un contrat rabais cet été serait peut-être la seule option s'il voulait terminer sa carrière au Québec. Mais cela signifierait également faire des compromis, renoncer à une partie de ce qu'il croyait mériter. La perspective de devoir choisir entre son orgueil et sa carrière est déchirante.
Marchessault se prépare à affronter l'incertitude du marché des agents libres. Le connaissant, il n'est pas prêt à abandonner sans se battre, à laisser quelqu'un d'autre dicter son destin.
Mais une chose est sûre: son temps à Vegas est compté...