Arber Xhekaj a décidé de faire un pied de nez à Martin St-Louis.

Le coach a toujours méprisé le surnom de "Shérif" attribué à Xhekaj, allant même jusqu’à mentir devant les médias en prétendant que ce surnom n’avait jamais existé.

"Personne ne l’appelle le Shérif dans notre vestiaire. C’est vous qui l’appelez comme ça. On connaît ses qualités. Mais il n'est pas un shérif." avait répondu le coach de manière colérique, en rejetant le pauvre journaliste qui avait osé poser la question, à avoir ce qu'il pensait de ce surnom.

St-Louis est mieux de se préparer, car Xhekaj a choisi de capitaliser sur ce surnom pour plusieurs de ses activités promotionnelles à venir lors de la saison 2024-2025.

Xhekaj se présente toujours fièrement comme "le Shérif" quand il se présente devant les annonceurs et les différents commenditaires.

Selon nos infos, Xhekaj sera la vedette de plusieurs campagnes promotionnelles en 2024-2025, devenant l'image de marque de plusieurs nouveaux produits et le "trademark Shérif" sera diffusé à la longueur du Québec.

Si St-Louis pensait que le burger des restaurants "La Chambre" était son pire cauchemar, il est mieux de se préparer. Car le mot "Shérif" va résonner dans ses oreilles toute l'année!

Déjà que St-Louis avait été placé dans une position délicate, alors que les coéquipiers de Xhekaj, comme sa famille, avait tous exposé le mensonge du coach comme quoi le surnom "Shérif" n'avait jamais existé.

Le vestiaire en entier avait avoué que Xhekaj était surnommé comme ça dans la chambre. Même Cole Caufield l'avait avoué à Paul Bisonnette et Ryan Whitney, les animateurs du fameux balado "Spittin Chiclets".

La réaction du public est du côté de Xhekaj. Les réseaux sociaux ont explosé de preuves et de partages de ses coéquipiers l'appelant "le Shérif", amplifiant un peu plus l’humiliation publique infligée à St-Louis.

Ce dernier s'est alors retrouvé pris au piège de ses propres contradictions, ses tentatives de nier le surnom "Shérif" se retournant contre lui de manière spectaculaire.

Cette confrontation "marketing" entre Xhekaj et St-Louis a captivé l’attention de tous. Alors que certains comprennent St-Louis de vouloir enrayer les surnoms individualistes au nom du collectif, d’autres ont applaudi le courage et la franchise de Xhekaj de vouloir garder le "Shérif", autant dans le vestiaire que dans sa vie marketing.

Ce surnom risque encore d'être l'élément déclencheur d'une nouvelle confrontation entre le coach et le défenseur. Le père d’Arber Xhekaj n’a pas non plus caché son mécontentement face aux commentaires de St-Louis sur le surnom de son fils.

Arborant fièrement des vêtements avec le surnom "Shérif" et le nom de son fils, il a répondu directement aux déclarations de St-Louis, lui faisant comprendre que ce surnom est important pour la vie de son fils et celle de sa famille.

Cette démonstration publique de soutien familial ajoute une dimension supplémentaire à la saga du "Shérif". La tension entre la famille de Xhekaj et le coach est évidente.  

Les commentaires de St-Louis, perçus comme méprisants et mensongers par le clan Xhekaj, ont amplifié les tensions et ont rendu la situation alarmante entre les deux hommes.

La réaction de St-Louis, qui a complètement rejeté le surnom de "Shérif" a créer un malaise évident parmi les journalistes et les fans. Un malaise qu'on ressent encore cet été et qui sera encore plus ressenti la saison prochaine lorsque Xhekaj va continuer ses activités de marketing.

Il reste à voir comment cette confrontation évoluera, mais pour l’instant, l’image d’un père affichant fièrement son soutien à son fils reste une affirmation forte de l’identité et de la loyauté familiale.

Cette saga du "Shérif" illustre parfaitement les tensions entre Xhekaj et St-Louis, mais surtout les tensions personnelles entre un coach et une famille au complet.

Cela ne doit pas aider Kent Hughes dans ses négociations déjà difficiles avec le clan du défenseur en vue d'une prolongation de contrat.

Peu importe l’opinion de St-Louis, Arber Xhekaj était, est et restera le "Shérif" aux yeux du QUébec en entier. Il est mieux de l'accepter.

Sinon, ça va mal se terminer...

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