La saga de Samuel Montembeault ne fait que commencer.

Depuis qu'il a signé son contrat de 3 ans et 3,15 M$ par année, son parcours est marqué par une série de déceptions récentes.

Le gardien québécois a connu une période de sécheresse, ne réussissant qu'à décrocher une seule maigre victoire en un mois et demi.

La situation s'est aggravée depuis le départ de Jake Allen. Montembeault semble être dans l'incapacité de retrouver la voie de la victoire, malgré de bonnes performances indéniables sur la glace.

En effet, il ne faudrait pas minimiser les performances individuelles de Montembeault. Malgré les résultats mitigés, il continue à jouer à un niveau respectable. Une preuve en est sa performance lors du dernier match hier soir contre les Oilers, où il aurait amplement mérité la victoire.

Cependant, la pression pèse lourd sur les épaules du gardien. Non seulement doit-il composer avec les attentes suscitées par son contrat, mais il doit également faire face à une double pression venant de ses pairs.

D'un côté, il doit rivaliser avec le futur, alors que Jacob Fowler, considéré comme un prodige dans le domaine, ne fait qu'accentuer la comparaison et les attentes. De l'autre, il doit se méfier de Cayden Primeau, un jeune gardien qui menace de le détrôner en tant que numéro un de l'équipe.

Cette situation complexe place Montembeault dans une position difficile. Il doit non seulement se battre contre ses adversaires sur la glace, mais aussi contre ses propres démons intérieurs et les critiques externes.

Pourtant, avec le bon soutien et la bonne attitude, il pourrait surmonter cette période de turbulences et retrouver sa confiance pour mener son équipe vers la victoire.

Mais il devra relever la tête. Car on commence à comprendre pourquoi Kent Hughes et Martin St-Louis n'ont jamais voulu le nommer numéro un...ni lui donner trop d'argent...

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