C'est tellement excitant de savoir que Juraj Slafkovsky travaille avec celui qui a "construit" le tir de David Pastrnak.
Toujours intéressant de regarder des joueurs qui reçoivent des conseils supplémentaires. Au tour de Slafkovsky et Matheson d’effectuer des exercices avec Glen Tucker, « Dr. Shot ». Remarquez la rondelle sous le patin droit de Slafkovsky @RDSca #CH pic.twitter.com/R4slVfXGzN
— Eric Leblanc (@eleblancRDS) December 6, 2023
Espérons que cela finisse par convaincre "Slaf" de tirer davantage au lieu de toujours chercher à la passer à Cole Caufield.
Glen Tucker, alias Dr.Shot, va-t-il faire des miracles comme avec Pastrnak?
Pendant ce temps, Martin St-Louis continue d'écouter les fans et les journalistes en laissant Slafkovsky sur la première unité d'avantage numérique.
L'unité principale d'avantage numérique est, ce matin, la même que lors du match de lundi:
— Anthony Martineau (@Antho_Martineau) December 6, 2023
Suzuki, Caufield, Monahan, Slafkovsky et Matheson.
PP2: Ylonen, Gallagher, Anderson, Dvorak, Barron
— Anthony Martineau (@Antho_Martineau) December 6, 2023
Premier trio, première unité d'avantage numérique, Slafkovsky n'a plus d'excuses pour ne pas produire. Il doit commencer à mettre des points au tableau.
On ne peut plus toujours affirmer que le Slovaque fait des bonnes choses sur la glace et que les point suivront. Quand tu obtiens autant de temps de glace, il est temps de produire.
Parlant de St-Louis, on le sent de plus en plus impatient envers les journalistes.
On peut le voir de plus en plus manifester son agacement envers les journalistes montréalais, soulevant des frustrations liées à la redondance des questions auxquelles il doit constamment répondre en anglais et en français.
Cette situation a ravivé des souvenirs de son temps en tant que joueur lorsqu'il visitait Montréal, où St-Louis avait développé un dégoût particulier pour les "face-à-face" avec les médias.
Pendant sa carrière de joueur, St-Louis était reconnu non seulement pour son talent incroyable sur la glace, mais aussi pour sa réticence à s'exprimer devant les journalistes.
Il considérait souvent ces conversations comme une distraction inutile, préférant se concentrer sur son jeu et sur les performances de son équipe. Les journalistes, à l'époque, faisaient face à des réponses bêtes et parfois méprisantes de la part de St-Louis le joueur.
On doit louer son effort maintenant qu'il est entraîneur-chef. St-Louis se retrouve confronté aux médias jour après jour et il tente de garder son calme. Mais on peut bien sentir que son énervement est de plus en plus amplifié face aux questions récurrentes sur les mêmes sujets.
Le fait d'avoir à répondre en deux langues, anglais et français, ajoute une couche supplémentaire d'agacement. St-Louis est fatigué de toujours chercher ses mots en français et de toujours repétéer les mêmes réponses dans les deux langues.
Surtout lorsque les questions concernent toujours Juraj Slafkovsky, Arber Xhekaj, la rotation à trois gardiens ou Josh Anderson et ses déboires offensifs.
St-Louis doit se rappeler qu'il joue un rôle essentiel dans la couverture et la promotion de l'équipe et que ça fait partie de son travail.
Car on sent qu'il est vraiment proche de sauter une coche....