Le DG des Blackhawks voit rouge avec Ivan Demidov

Le DG des Blackhawks voit rouge avec Ivan Demidov

Par David Garel le 2025-01-26

Le directeur général des Blackhawks de Chicago, Kyle Davidson, est aujourd’hui dans l’eau chaude jusqu’au cou. Son choix controversé lors du repêchage 2024, celui de sélectionner le défenseur Anton Levshunov au deuxième rang au lieu de l’attaquant prodige Ivan Demidov, est en train de se transformer en un cauchemar sans fin.

Pendant que Levshunov connaît des débuts difficiles dans la Ligue américaine de hockey (AHL), Demidov, sélectionné au cinquième rang par le Canadien de Montréal, éblouit tout le monde et est perçu par plusieurs experts comme le futur meilleur joueur de la LNH.

La pression est insoutenable pour Davidson, qui voit son choix critiqué de toutes parts. L’organisation des Blackhawks est aujourd’hui prise dans la tempête, et le constat est brutal : ils se sont fait avoir.

Kyle Davidson a fait l’erreur classique de prioriser un besoin d’équipe au détriment du talent pur.

En sélectionnant Levshunov, un défenseur jugé prometteur mais loin de la catégorie d’un joueur générationnel comme Demidov, il espérait combler un vide à la ligne bleue des Blackhawks.

Cependant, ce pari est en train de s’effondrer. Anton Levshunov, qui peine à s’adapter à la Ligue américaine, affiche des performances décevantes et un manque flagrant de confiance.

Ses statistiques sont honteuses, son jeu est hésitant, et les espoirs placés en lui s’amenuisent à vue d’œil.

Pendant ce temps, Demidov fait exploser les compteurs en KHL, dominant ses adversaires et prouvant qu’il est prêt à faire le saut dans la LNH dès la saison prochaine.

Davidson, qui croyait bien faire en comblant un besoin défensif à long terme, est maintenant confronté à l’évidence : il a laissé passer une pépite rare, un joueur capable de transformer une franchise à lui seul.

Le choix de Demidov par les Canadiens est désormais perçu comme un coup de génie, tandis que celui des Blackhawks est qualifié d’« erreur de carrière ».

Il n’aura fallu que quelques mois pour que la décision des Blackhawks soit remise en question. Ivan Demidov, avec son patinage explosif, son sens du jeu hors norme et sa capacité à dominer offensivement, prouve qu’il est bien plus qu’un simple bon espoir.

Selon plusieurs analystes, il est déjà le meilleur joueur en dehors de la LNH, et certains n’hésitent pas à dire qu’il pourrait devenir l’un des meilleurs de l’histoire moderne du hockey.

Nikita Zadorov, un vétéran respecté de la LNH, a récemment déclaré dans une entrevue qu’il ne comprenait pas comment Chicago avait pu passer à côté d’un tel talent.

« Si j’étais Chicago, j’aurais pris Demidov sans hésiter, » a affirmé Zadorov.

« Son intelligence du jeu, sa vision, son tir… c’est un joueur d’élite. Des défenseurs, on peut en trouver, mais un talent comme Demidov, c’est unique. »

Ces propos résonnent aujourd’hui comme un verdict cinglant contre Davidson et son équipe de recrutement.

Pour Anton Levshunov, la transition vers le hockey nord-américain est loin d’être un conte de fées. À peine quelques mois après son arrivée dans la AHL, les signes de difficultés sont évidents.

Son jeu défensif, autrefois perçu comme son plus grand atout, semble en retrait face à des adversaires plus rapides et plus physiques.

Son coup de patin est jugé trop rigide, son positionnement approximatif, et son manque d’impact offensif devient un problème flagrant.

Les partisans des Blackhawks commencent à exprimer leur frustration, et la pression sur Davidson s’intensifie.

Chaque mention de Demidov dans les médias, chaque but marqué par le jeune Russe, est un coup de poignard supplémentaire pour la direction de Chicago.

L’erreur de choisir Anton Levshunov plutôt que Demidov est maintenant perçue comme plus grave encore que certaines des pires erreurs de repêchage de l’histoire récente de la LNH.

Kyle Davidson est aujourd’hui sur la sellette. La presse de Chicago ne lui laisse aucun répit, les partisans réclament des comptes, et les experts se demandent comment un tel désastre a pu se produire.

Les Blackhawks, qui espéraient construire autour de Connor Bedard et d’un noyau jeune prometteur, voient maintenant un sérieux nuage s’amonceler sur leur avenir.

L’ajout de Levshunov, qui devait stabiliser leur défense, est aujourd’hui une source d’inquiétude plutôt qu’une solution.

Dans les bureaux de Chicago, Davidson doit affronter la réalité : il est en train de payer le prix d’un mauvais pari.

Les critiques fusent de toutes parts, certains suggérant même que son poste est en danger si Levshunov ne montre pas de progrès significatifs d’ici la fin de la saison.

Pendant que Chicago s’effondre sous la pression, le Canadien de Montréal nage en eaux calmes.

Ivan Demidov est devenu la coqueluche des partisans du CH, et tout indique qu’il pourrait s’intégrer à la LNH dès la prochaine saison.

Son impact sur la KHL est impressionnant : il enchaîne les performances éclatantes, démontre une maturité rare pour son âge, et se montre capable d’élever son jeu à un niveau supérieur à chaque match.

Son charisme et son attitude professionnelle en font déjà un chouchou des médias et du vestiaire montréalais.

Kent Hughes, le directeur général du CH, ne pouvait espérer un meilleur scénario. Sélectionner Demidov après que Chicago l’ait ignoré est aujourd’hui perçu comme une bénédiction pour l’organisation montréalaise.

Hughes n’a pas hésité à miser sur le talent pur, là où Davidson a privilégié la logique de position. Un choix qui, aujourd’hui, se révèle être un coup de maître.

La situation des Blackhawks est loin d’être enviable. Avec un Connor Bedard déjà sous pression pour porter l’équipe sur ses épaules, l’échec de Levshunov ne fait qu’alourdir le fardeau du jeune prodige.

Davidson devra prendre des décisions cruciales dans les prochains mois, que ce soit en renforçant son équipe via des échanges ou en tentant de rattraper son erreur par le développement intensif du défenseur.

Cependant, la patience du public de Chicago est mince, et si le Biélorusse ne parvient pas à s’adapter, Davidson pourrait bien être contraint de céder sa place.

Pour l’instant, l’organisation tente de rassurer les partisans en insistant sur le fait que le défenseur russe a besoin de temps pour s’acclimater. Mais en coulisses, la panique est bien réelle.

L’histoire de ce repêchage 2024 restera gravée comme une leçon amère pour les Blackhawks de Chicago. En choisissant la prudence au détriment du talent brut, Ky;e Davidson a peut-être signé son propre congédiement en tant que directeur général.

Pendant ce temps, Ivan Demidov, ce prodige que Chicago a laissé filer, continue de prouver qu’il aurait dû être leur choix incontestable.

Le constat est clair : les Blackhawks ont fait une erreur majeure. Et cette erreur, ils risquent de la payer pendant de nombreuses années.

Une erreur que les fans ne pardonneront jamais.

À Chicago, la colère gronde et la patience des partisans s’effondre à vitesse grand V.

Kyle Davidson est désormais sous le feu nourri des amateurs et des analystes, qui sont cinglants.

Pour eux, il est clair que Chicago a répété la même erreur que le Canadien de Montréal un an plus tôt, lorsqu’il a préféré le défenseur David Reinbacher à l’attaquant Matvei Michkov.

L’histoire semble se répéter, mais cette fois, avec un degré d’intensité encore plus élevé. Anton Levshunov, tout comme Reinbacher à Montréal, se retrouve malgré lui dans une position délicate : il est désormais l’homme qui a été choisi à la place d’un prodige offensif.

Et peu importe son évolution, le nom d’Ivan Demidov le hantera probablement pour le reste de sa carrière.

Les partisans des Blackhawks, déjà frustrés par des années de reconstruction difficile, voient en cette décision un coup dur pour l’avenir de la franchise.

Sur les réseaux sociaux, les commentaires sont sans équivoque : 

“Comment Davidson a-t-il pu passer à côté de Demidov ?”, “On aurait pu avoir le duo Bedard-Demidov, c’était évident !”

La pression est d’autant plus grande que Davidson a répété à plusieurs reprises vouloir bâtir autour de Connor Bedard, la future superstar de l’équipe.

Pourtant, il a choisi un défenseur alors qu’un talent générationnel était disponible, une décision qui fait écho à celle de Kent Hughes à Montréal en 2023.

À l’époque, les dirigeants du Canadien avaient défendu leur sélection en affirmant qu’un défenseur de qualité était un besoin criant. Davidson, lui, a avancé des arguments similaires, justifiant le choix de Levshunov en soulignant le manque de profondeur défensive de l’équipe.

Mais le problème est le même : le talent offensif comme celui de Demidov est rare, et le laisser passer risque de hanter l’équipe pendant des décennies.

Pour Anton Levshunov, la situation est désormais extrêmement compliquée. Tout comme David Reinbacher à Montréal, il est sous une loupe constante, comparé sans cesse à un joueur qui semble destiné à la gloire.

Peu importe ses performances, les partisans se rappelleront toujours qu’il a été choisi à la place de Demidov, et le moindre faux pas sera amplifié.

Les débuts du jeune défenseur dans la Ligue américaine ne font rien pour apaiser les inquiétudes. Son adaptation est laborieuse, son impact est limité, et il semble loin d’être le défenseur élite que les Blackhawks espéraient voir émerger rapidement.

Pendant ce temps, à Montréal, Reinbacher a déjà appris à vivre avec la comparaison incessante avec Michkov, qui continue de faire des ravages en Russie.

Levshunov devra maintenant composer avec cette pression, mais la question demeure : est-il à la hauteur de ce défi colossal ?

Sa progression est scrutée à la loupe, et il est condamné à devenir un défenseur de premier plan pour justifier la confiance que Davidson a placée en lui.

Pendant ce temps, Ivan Demidov continue de faire des étincelles dans la KHL. Il empile les points, s’impose comme l’un des joueurs les plus dominants de la ligue à seulement 18 ans, et prouve qu’il aurait pu changer le visage des Blackhawks en duo avec Bedard.

Les partisans de Chicago voient chaque fait d’armes de Demidov comme une gifle supplémentaire. Chaque but spectaculaire, chaque mention de son nom dans les discussions des médias nord-américains, ravive leur frustration et renforce le sentiment d’avoir été floués par la direction.

Sur les forums et les réseaux sociaux, les amateurs ne cachent plus leur rage. “Davidson va devoir répondre de cette décision pour le reste de sa carrière,” peut-on lire sur les plateformes de discussion des partisans.

La patience s’épuise, et l’ombre de Demidov plane sur chaque match de Levshunov.

Le parallèle avec Montréal est évident. Les fans du Canadien ont vécu une situation similaire en voyant Matvei Michkov briller dans la KHL pendant que Reinbacher tente encore de se tailler une place dans l’équipe.

L’apprentissage de Reinbacher est difficile, et chaque mention de Michkov provoque des débats enflammés à Montréal.

Aujourd’hui, Chicago est confronté au même problème, mais dans une ville où l’attente de résultats est encore plus forte. Les partisans voulaient voir du spectacle autour de Bedard, et ils se retrouvent avec un défenseur qui peine à faire sa place dans la AHL.

Comme Reinbacher, Levshunov est pris dans un tourbillon de critiques qu’il ne pourra dissiper qu’avec du temps et beaucoup de succès – des éléments qui se font rares dans une ville aussi impatiente que Chicago.

Kyle Davidson est aujourd’hui dans une situation extrêmement délicate. Son choix de repêcher pour un besoin plutôt que pour le talent pur est en train de lui exploser au visage.

Anton Levshunov, bien qu’il soit un défenseur prometteur, est désormais le symbole d’une occasion manquée qui risque de hanter l’organisation pendant des années.

À Montréal, Kent Hughes a dû apprendre à composer avec la critique incessante du choix Reinbacher-Michkov, et Davidson suit désormais la même trajectoire.

La question est maintenant de savoir combien de temps les partisans de Chicago lui laisseront avant de demander des comptes.

Une chose est sûre : Ivan Demidov est en train d’écrire sa propre légende, et les Blackhawks, eux, doivent composer avec le poids d’un choix qui pourrait définir l’avenir de leur franchise… pour le meilleur, ou pour le pire.

Surtout le pire...