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Après passé six saisons chez les Blue Shirts, le Russe de 46 ans a fait partie d’une véritable purge au sein de l’organisation suivant le remplacement de Gorton par Chris Drury. Bobrov en a été une victime à l’instar du personnel d’entraîneurs, du responsable vidéo Jerry Dineen (qui après 27 ans faisait partie des meubles chez les Rangers) et du vice-président aux relations publiques John Rosasco. On raconte que sur le coup, Bobrov avait été pris par surprise par cette décision.

Bobrov supervisait tout le volet européen du recrutement amateur, et il est vrai qu’à ce titre, certaines sélections des Rangers ont fait chou blanc.

Au-delà de Kaapo Kakko, qui était un choix consensuel au deuxième rang du repêchage de 2019, il y a Vitali Kravtsov (9e, 2018),  un espoir dont la cote a baissé en même temps que sa relation avec l’organisation, et Lias Andersson (7e, 2017), qui a carrément été une erreur. Les Européens issus des rondes subséquentes qui se sont taillé un poste ont été très rares.

En revanche, le défenseur Nils Lundkvist (28e, 2018) s’est établi comme un bel espoir. Mais surtout, il faut savoir qu’en dépit de son titre, Bobrov ne s’occupait pas seulement du territoire européen. Ainsi, on lui prête un rôle important dans la sélection de l’excellent arrière Braden Schneider (19e, 2020).

C’est également Bobrov qui a déniché le gardien Alexandar Georgiev comme joueur autonome, et on raconte entre les branches qu’il aurait joué un rôle afin de convaincre Artemi Panarin de choisir les Rangers au lieu d’aller rejoindre son ami Sergei Bobrovsky avec les Panthers de la Floride.

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