Après le fiasco du Grand Prix, la fermeture des terrasses, et Montréal en chute libre, Valérie Plante empoche plus de 200 000 dollars... pour détruire notre ville.

Le salaire de Valérie Plante, qui est exactement de 211 864 $, est indéniablement trop élevé, surtout compte tenu de la gestion actuelle de la ville de Montréal.

Comment justifier une telle rémunération alors que la ville semble constamment en crise ? Le fiasco du Grand Prix et la fermeture des terrasses par "power trip" lors du week-end le plus payant de l'année, ne sont que quelques exemples des nombreuses décisions controversées prises sous son mandat.

Les Montréalais voient leurs taxes augmenter, et il est légitime de se demander si ces fonds sont utilisés à bon escient, surtout quand ils servent à financer le salaire exorbitant de la mairesse.

La gestion d’une grande ville est certes complexe et stressante, mais cela ne justifie pas un salaire qui dépasse largement celui de nombreux citoyens et même de certains autres maires.

Le salaire de 211 864 dollars de Valérie Plante est d'autant plus disproportionné quand on le compare à d'autres maires dont les responsabilités sont similaires mais qui gagnent beaucoup moins.

De plus, le fait que le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation du Québec (MAMH) n’ait plus de contrôle sur la rémunération des élus depuis 2018 pose problème.

Les villes fixent elles-mêmes les salaires, souvent sans réelle justification basée sur la complexité ou les besoins spécifiques de la municipalité.

L’Union des municipalités du Québec (UMQ) avait proposé un guide pour ajuster les salaires des maires en fonction de divers critères, notamment leur compétente et leur responsabilité, mais il est clair que ce guide n'est pas pris en compte.

Si l’on se base sur ce guide, le salaire de la mairesse de Montréal devrait être revu à la baisse, en tenant compte de son incompétence.

Il est crucial que les salaires des élus soient ajustés de manière raisonnable et équitable, reflétant les véritables responsabilités et performances.

La rémunération de Valérie Plante est un exemple flagrant de déconnexion entre le salaire et le service rendu à la population, et il est temps que cela change.

La mairesse ne donne pas la priorité aux urgences immédiates de la ville.  Lors de l'incident des terrasses, surnommé « terrassegate », la réaction des Montréalais a été particulièrement virulente, révélant un mécontentement profond concernant la gestion de la ville.

Au lieu de reconnaître et de s'attaquer à ces préoccupations, Mme Plante a préféré voir le « verre à moitié plein ». Cette attitude montre une déconnexion préoccupante entre la mairesse et les réalités vécues par ses citoyens.

Les Montréalais expriment régulièrement leur inquiétude concernant l'état de leur ville : insécurité dans les rues et les transports publics, saleté, chantiers omniprésents, bureaucratie lourde et compliquée.

Même si la mairesse n'est pas responsable de tous ces problèmes, son manque de réponse efficace et sa tendance à ignorer les plaintes des citoyens sont problématiques.

Les symboles comptent, et Mme Plante aurait dû se montrer plus présente et réactive face aux critiques et aux urgences.

Le lien de confiance entre les citoyens et leur maire est essentiel pour une gestion municipale efficace. La répétition des incidents, l'absence de réaction adéquate de la part de Mme Plante, et son manque de réactivité lors de crises comme celle des terrasses durant le Grand Prix montrent qu'elle n'est pas à la hauteur des attentes des Montréalais.

Cette perte de confiance est un indicateur clair que son salaire est injustifié, surtout comparé à d'autres élus qui prennent des mesures pour réduire leur propre rémunération dans un souci d’équité et de responsabilité.

Le salaire élevé de Valérie Plante ne correspond pas à la qualité de la gestion et à l’attention nécessaire pour répondre aux besoins urgents de la ville.

Les Montréalais méritent un leader qui priorise réellement leurs préoccupations et qui est présent lors des moments critiques, ce qui n'est manifestement pas le cas actuellement.

Dire qu'elle a fait perdre des centaines de milliers de dollars aux restaurateurs qui ont vu leur terrasse être fermées de force alors qu'elles étaient bondées de gens.

Au final...elle aurait dû les rembourser avec son salaire de pratiquement 212 000 dollars. 

Ouch...

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