La situation des gardiens de but au sein du Canadien de Montréal suscite des interrogations quant à l'avenir de Jake Allen dans l'organisation.

Si l'on suppose qu'aucun directeur général sain d'esprit n'a envisagé de l'acquérir cette année, le CH se retrouve avec une rotation à trois gardiens l'année prochaine.

La performance de l'équipe semble également souffrir en présence d'Allen.

Si le gardien demeure après la date limite des transactions, pourrait-il devenir le principal candidat au rachat de contrat cet été ?

En consultant Cap Friendly, on constate que l'impact sur le plafond salarial de Jake Allen sera de 2,3 millions de dollars la saison prochaine, suivi d'une baisse significative à 766 000 dollars l'année suivante.

Bien que cela puisse sembler acceptable, surtout si cela signifie mettre fin à la rotation à trois gardiens, la décision de racheter un contrat doit être bien évaluée.

La question se pose alors de savoir si le Canadien, avec ses contrats parfois contestables, envisagera le rachat d'au moins un joueur, et si Jake Allen pourrait être celui-ci.

Les termes d'un rachat du contrat d'Allen s'étaleraient sur deux ans, avec un coût de 1 533 333 dollars et des économies de 766 667 dollars.

À l'âge de 33 ans au moment du rachat, le ratio serait de 2/3.

Avec un salaire restant de 2 300 000 dollars, le coût net serait de 1 533 333 dollars, offrant une opportunité d'alléger la masse salariale de l'équipe.

L'évaluation des options de rachat doit tenir compte de divers facteurs, notamment la nécessité de libérer de l'espace salarial, l'impact sur l'effectif, et les aspirations futures de l'équipe.

Si Allen n'est pas choisi, d'autres choix difficiles pourraient se profiler, soulignant les défis auxquels est confronté le Canadien dans la gestion de sa masse salariale.

Mais si on est Kent Hughes, il y a longtemps qu'on aurait envoyé Jake The Snake faire ses valises.

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