- Ce que Kent Hughes a dit....

- Sur son bonheur...

« Je suis plus heureux que je l’aurais cru, au temps où j’ai pris ma décision. J’ai beaucoup aimé ma carrière comme agent, mais je crois que ça m’a préparé pour le poste de directeur gérant. J’ai construit une business dans l’agence, mais je n’ai pas eu la chance de construire une équipe de hockey. Et c’est ma passion. »

- Sur le concept de famille...

« Il faut garder une certaine flexibilité dans notre manière de penser (…) Il faut accepter que des données peuvent changer. Il y a certains principes à établir à Montréal. »

« On veut de bons joueurs, mais aussi de bonnes personnes. On veut être une famille, ici, à Montréal. Pour faire partie d'une famille, ça prend des sacrifices de tout le monde, aussi. »

- Sur Juraj Slafkovsky...

« Il est confiant, sans être arrogant. Martin (St-Louis) se sert souvent du mot « swagger » et on le voit en lui. C’est un bon gars. Ça fait longtemps qu'il est parti de chez lui. On doit accepter le fait qu'il est seul depuis, je crois, quatre ans. C'est sûr qu'il va avoir besoin d'un encadrement. On veut le protéger et lui donner le meilleur environnement pour se développer comme joueur ».

- Sur CAPITAINE SUZUKI...

« Mmm… Pendant l’année passée. J’ai remarqué la manière comment il agissait. Comment les joueurs le suivaient. Et on a parlé avec les joueurs. Quel est ton point de vue du vestiaire? Qui sont les leaders? C’est revenu souvent que c’était l’équipe de Nick Suzuki. On voit qu’il a une certaine maturité. Il a l’air plus vieux que son âge. Comme Patrice Bergeron, il ne parle pas beaucoup, mais il est très confiant. Sans avoir à parler, tu vois qu'il prend sa place. »

- Sur Carey Price qui va rester dans l'entourage de l'équipe...

« Je crois que oui. (…) Mais c’est difficile pour les joueurs de hockey, quand ils ne jouent pas au hockey. J’ai dit à Carey : « Tu restes autour de l’équipe autant que tu voudras, mais si tu trouves ça mentalement difficile, on va garder une feuille blanche et c’est à toi de déterminer… » C’est complètement ouvert. Carey est un gars qui réfléchit beaucoup. Ce n’est pas un gars qui réagit sur le fly ». 

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