La chute de Cole Caufield semblait inévitable, mais sa descente aux enfers sur la glace est devenue une réalité amère que même les fans les plus ardents peinent à ignorer.

Autrefois acclamé comme la vedette incontestée du Canadien de Montréal, il est maintenant devenu une ombre de lui-même, un fantôme dans son propre jeu.

Tout a commencé avec des rumeurs, des murmures qui se sont insinués dans les coulisses de l'équipe, une révélation controversée de la part de Réjean Tremblay, ébranlant l'image de Caufield.

Le soir où il aurait été aperçu, ivre et chancelant, dans le luxueux restaurant de l'hôtel "Four Seasons", a été un tournant. Les médias traditionnels, dans un acte de protection ou de déni, ont essayé de minimiser l'incident, mais la vérité refusait de se taire.

Voici en rappel les propos de Tremblay:

"Je voudrais juste souligner qu’il serait peut-être temps que le vrai boss du Canadien lâche un coup de téléphone à Serge Savard. Le Sénateur pourrait peut-être lui donner quelques  conseils sur l’art de contrôler les bars les plus populaires de la ville. Y aura toujours des incartades mais pourquoi ne pas être prévenant ?" (crédit: Réjean Tremblay, BPM Sports)

"Par exemple, jeudi soir en fin de soirée au Marcus, Cole Caufield avait de toute évidence, avalé beaucoup trop de sirop pour la toux. Pauvre garçon, il était tout étourdi."

Depuis ce moment fatidique, les performances de Caufield ont décliné de manière spectaculaire. Incapable de trouver le fond du filet, son jeu est devenu un reflet de sa détresse intérieure.

Sept matchs sans marquer, puis treize avec seulement deux maigres buts, des chiffres qui éclaboussent sa réputation autrefois éblouissante. Avec seulement 19 buts en 61 matchs, les questions affluent, les doutes se multiplient.

Au cœur de ce déclin se trouve une véritable interrogation sur la vie de Caufield en dehors de la glace. Les démons personnels qui le hantent, les influences néfastes qui s'accrochent à lui comme des ombres, tout semble converger vers une spirale destructrice. Au point que le CH a engagé une "nounou" pour le surveiller.

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Les joueurs du Canadien ont une nounou

♬ son original - Denis Lévesque Le Show - 9millions

L'influence présumée de Christian Dvorak, son coéquipier qui habite avec lui, est également examinée de près, comme si son ombre planait sur les performances décevantes de Caufield.

À près de 7,85 millions de dollars par année, l'investissement dans Caufield semble de plus en plus risqué, presque imprudent.

Il est partout sur la glace, sur toutes les premières unités de l'équipe, mais son éclat d'antan semble s'être dissipé dans l'obscurité de son propre malaise. Premier avantage numérique, premier trio, et pourtant, le filet reste désespérément hors de portée.

La frustration monte, les supporters s'impatientent, et l'avenir de Caufield semble de plus en plus incertain. Que se passe-t-il dans les coulisses de sa vie?

Quelles sont les batailles qu'il mène loin des feux de la rampe?

Ces questions, aussi urgentes qu'elles soient, restent sans réponse, laissant derrière elles un joueur autrefois brillant, maintenant éclipsé par les ténèbres de ses propres luttes personnelles.

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