- Les RECRUTEURS s'entendent sur les DEUX FAIBLESSES de Mavrik Bourque.

«Il n’est pas assez fort physiquement.» 

«Son coup de patin n’est pas exceptionnel.» 

- Bourque se défend....

«Je suis vraiment rendu plus fort. Je n’ai pas forcément réussi à gagner du poids, mais je suis plus bâti. Je le sens dans le gym, je peux augmenter la charge. J'ai perdu mon gras de bébé» 

"Pour un deuxième été consécutif, je me suis entraîné à Québec avec mon préparateur physique Jean-Philippe Riopel. 

«On travaillait le bas du corps quatre fois semaine, juste une fois semaine le haut du corps. On faisait beaucoup d’haltérophilie pour aller chercher de l’explosion, des sprints, de l’agilité, du cardio.»

«J’étais revenu du Hlinka-Gretzky l’an dernier et je voulais absolument participer à mon camp d’entraînement. Daniel Renaud (le coach qui a plus tard été CONGÉDIÉ) me disait : "Mav, fais attention, tu peux te brûler." Moi je voyais les gars et je voulais jouer. Je suis réembarqué dans la roue assez vite. Et j’ai comme eu une accumulation de fatigue au début de la saison. Je me mettais beaucoup de pression. Ça n’allait pas nécessairement de la façon que je voulais.»

"Je jouais 25 minutes de temps de glace. Une situation parfaite pour mettre des points au tableau, mais trop ce n’est comme pas assez".

"J'ai frappé un mur lorsque je suis revenu de la série Canada-Russie."

«J’étais revenu brûlé. Je suis allé jouer à Victoriaville. Après le match, je "feelais" vraiment pas. Le dimanche, j’étais supposé aller à Chicoutimi, mais je n’ai pas joué. Ensuite, j’ai joué un excellent match contre Saint John. Mon temps de jeu a diminué, mais j’ai été beaucoup plus efficace à partir de ce moment. J’ai vraiment pu démontrer ce que j’étais réellement.» 

Votre Voix