- Les larmes de Geoff Molson...
"Dans la situation actuelle, aucune équipe, dans n’importe quelle ligue, ne peut survivre sans spectateurs à long terme. Si [ça persiste], le système devra changer. »
"On doit assumer les dépenses courantes et on ne génère presque plus de revenus."
"Ni du Canadien. Ni du Rocket de Laval. Ni du Festival de jazz. Ni des Francos. Ni de Montréal en lumière. Ni de ses nombreuses salles de spectacle."
"L’industrie du divertissement a été l’une des plus affectées, explique-t-il. En une journée, le 12 mars, on est passés de 100 miles à l’heure à zéro."
« Ça fait très mal au cœur (dit-il en pleurant), Pas pour moi. Pour tout le monde qui travaille ici. Mon objectif, c’est de maintenir cet esprit d’équipe qu’on avait le 11 mars. Ça fait mal… d’avoir 300, 400 personnes…qui on perdu leur emploi. »
« Pour moi, l’aboutissement [endgame], c’est le vaccin. Ça sera extraordinaire dans cette province. On va recommencer nos festivals. Les gens qui aiment les festivals vont sortir pour la première fois depuis longtemps. Ce sera une période très intéressante."
« Je vois la lumière au bout du tunnel. Nous aurons une équipe performante. Des festivals extraordinaires. Nos employés seront motivés. Les fans de sports et de musique vont célébrer. À court terme, je vois une entreprise qui va perdre un an, un an et demi de temps. On va survivre. On va être aussi positifs que possible. Déjà, ça fait presque huit mois. Il va y en avoir au moins quatre, cinq, six [autres mois]. On va passer au travers. Mais moi, je pense à la prochaine étape. »