- Les Nordiques vont revenir..

- On le sent...

- PKP aussi...

« On peut légitimement penser que les circonstances actuelles peuvent changer le scénario. C’est une opportunité pour Québec et une opportunité pour la Ligue. » 

« Si c’était chambranlant le plan d’affaires, je me dirais peut-être que les dirigeants de la Ligue ont des raisons de douter. Mais dans les circonstances que nous connaissons, avec les outils, les actifs et les avantages dont dispose Québecor, honnêtement j’ai de la difficulté à dire ce qui nous manque pour réussir ».

« C’est probablement ce à quoi les dirigeants de la Ligue vont être extrêmement attentifs ».

« Il y a un système de péréquation qui peut permettre à un certain nombre d’équipes en situation financière difficile d’être alimentées par ce système-là. Mais si compte tenu des circonstances ce système fonctionne moins bien qu’il fonctionnait, est-ce qu’il faut revoir le plan d’affaires ? ».

« On peut difficilement trouver une entreprise qui va exploiter une équipe professionnelle avec autant d’atouts et d’avantages ».

Le scénario élaboré par M.  Péladeau n’est pas farfelu, affirme Michael Goldberg, vice-président finances du sport à DBRS Morningstar.

« Je pense que les choses devraient vraiment beaucoup s’aggraver pour qu’une équipe se rende jusqu’à devoir déménager. Il faut rappeler qu’avant la pandémie la ligue était probablement riche comme jamais, et ça vaut pour la plupart des franchises. » 

« C’est un scénario où il n’y a pas vraiment de retour à la normale. Oui, les matchs reprennent quelque part en 2020 ou en 2021, oui les spectateurs ont le droit d’acheter des billets. Mais imaginons que la situation économique est si mauvaise que les gens n’achètent pas de billets. Ou alors ils ont peur de se rendre à l’aréna. » 

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