- Décidément...

- Les parents de Jonathan Drouin continuent d'être VISÉS par un recruteur qui décide de rester sous le couvert de l'anonymat.

"Drouin a été un jeune dorloté à la maison. Ses parents l’ont encouragé, protégé, couvé. Il a probablement entendu que c’était lui le meilleur. Rien de très anormal comme comportement. La majorité des parents sont les plus grands fans de leurs fils? Mackinnon, de son côté, a toujours dû travailler fort pour tout ce qu’il a obtenu. Ses parents n’étaient pas aveuglément à ses genoux" 

 « Tous les deux ont eu 17, 18 et 19 ans en même temps. Pourquoi un joueur est-il aujourd’hui plus mature que l’autre? Faut peut-être remonter aux sources. La situation familiale d’un athlète a un impact sur sa carrière professionnelle beaucoup plus que les gens peuvent l’imaginer. »

"Rien n’était compliqué pour Drouin dans les rangs juniors. Son talent était si évident que tout lui semblait facile. MacKinnon, qui devait travailler plus fort pour réussir les mêmes patrons de jeux, semblait animé d’un plus grand désir de réussir. Personnellement, c’est MacKinnon qu’il aurait recommandé à ses patrons parce qu’il était un centre capable d’une plus grande créativité. Cependant, l’aspect francophone contribuait davantage à mettre Drouin en lumière au Québec."

"Aucun problème d’attitude n’a été noté chez Drouin durant son stage junior. Par contre, on le trouvait suffisant, un peu au-dessus de ses affaires, comme on l’a constaté à Tampa et comme on l'a vu à Montréal".

- Ce recruteur vise aussi son agent, Allan Walsh.

 « Il faut tenir compte de ce que l’entourage d’un joueur lui apporte. Jonathan a reçu une éducation familiale et a été formé par divers entraîneurs, mais on ne peut pas ignorer l’impact que son agent a pu avoir sur lui. Parfois, un conseiller doit être capable de dire à son client que "assez, c’est assez". Il y a des agents qui sont toujours d’accord avec les agissements de leurs joueurs. Éventuellement, le joueur frappe un mur. » 

- Lorsque Drouin a quitté le Lightning de Tampa Bay pour aller faire la grève chez lui au Québec...

- Ce serait ses parents qui lui auraient conseillé d'agir de la sorte...

- Dans le fond...ce sont ses parents et son agent qui ont force la transaction vers Montréal.

- Ils pensaient relancer la carrière de leur protégé.

- Au final, c'est tout le contraire qui arriva...

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