Les PLOMBIERS du ROCKET...ont de la DIFFICULTÉ à s'entraîner...

Les PLOMBIERS du ROCKET...ont de la DIFFICULTÉ à s'entraîner...

Par André Soueidan le 2020-11-05
canadiens

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« L’endroit où je m’entraînais à Boisbriand est complètement fermé. Du matériel, je n’en ai pas beaucoup. En fait, la première semaine, je n’avais absolument rien. Mon entraînement était donc surtout axé sur le cardio ».

« Maintenant, je m’entraîne dans la cour arrière de Joel Teasdale. On a rassemblé du matériel qu’on a trouvé par-ci par-là. On a un vélo stationnaire, on a ramassé des poids que sa tante et ma blonde possédaient, on a acheté un ballon et des tapis. On réussit quand même à s’entraîner fort, même si le matériel est limité. »

« À Québec, on est assez limité en ce qui concerne la disponibilité des patinoires. Pour l’instant, je patine beaucoup moins qu’à l’habitude. Au moins, on sait que le début de la saison n’est pas pour bientôt (on parle du 5 février). D’ici là, la situation a le temps de changer », a indiqué l’attaquant de 23 ans.

« L’endroit où je m’entraînais à Boisbriand est complètement fermé. Du matériel, je n’en ai pas beaucoup. En fait, la première semaine, je n’avais absolument rien. Mon entraînement était donc surtout axé sur le cardio ».

« Maintenant, je m’entraîne dans la cour arrière de Joel Teasdale. On a rassemblé du matériel qu’on a trouvé par-ci par-là. On a un vélo stationnaire, on a ramassé des poids que sa tante et ma blonde possédaient, on a acheté un ballon et des tapis. On réussit quand même à s’entraîner fort, même si le matériel est limité. »

« À Québec, on est assez limité en ce qui concerne la disponibilité des patinoires. Pour l’instant, je patine beaucoup moins qu’à l’habitude. Au moins, on sait que le début de la saison n’est pas pour bientôt. D’ici là, la situation a le temps de changer ».

« Pour le moment, ce n’est pas quelque chose que j’ai envisagé. Je ne ferme pas la porte à cette option, mais, pour l’instant, je préfère rester dans le coin de Québec. Les ressources sont quand même assez nombreuses ».

« Je suis demeuré au Saguenay jusqu’en septembre. Pour le bien de mon développement, Joël [Bouchard] m’a conseillé de m’en venir à Blainville. J’ai des discussions toutes les semaines avec Francis Bouillon et Rob Ramage. Ils prennent des nouvelles régulièrement ».

« Il faut toujours essayer de trouver du positif. La pandémie m’a permis d’avancer mes cours. Normalement, avec la saison, je me contente de deux cours par session. Cette fois, j’en ai pris quatre. Ça me garde occupé et ça me permet de rester dans de bonnes dispositions mentales. À travers mes cours dans le domaine de la santé, je suis des cours en gestion de projet, des cours en entrepreneuriat. »