La tension montait d'un cran lors de la conférence de presse de Nick Suzuki, alors qu'un journaliste osait aborder un sujet délicat et totalement déplacé.

Alors que Suzuki était censé être dans un moment de détente, le journaliste, manifestement mal informé ou tout simplement insensible, lui demanda de commenter la prétendue culture toxique du hockey en lien avec le scandale d'Équipe Canada 2018. Avancez la vidéo à 4:30.

L'air devint soudainement plus lourd dans la salle alors que le silence pesant reflétait le malaise généralisé. Suzuki, visiblement surpris et décontenancé par la question hors contexte, chercha ses mots, cherchant probablement à comprendre pourquoi une telle interrogation surgissait à ce moment précis.

Il était clair que le journaliste cherchait à piéger Suzuki, le plaçant dans une situation inconfortable et injuste. Ce dernier n'avait aucun lien avec le scandale en question, et cette demande de commentaire semblait tout simplement absurde et déplacée.

Pendant ce temps, les médias présents se demandaient probablement pourquoi une telle question avait été posée. La stratégie des relations publiques, visant à protéger les joueurs des questions délicates ou potentiellement dommageables, semblait avoir été négligée dans ce cas précis.

Chantal Machabée, vice-présidente des communications chez le Canadien de Montréal, aurait pu difficilement prévoir cette situation puisque le CH n'avait aucun joueur impliqué dans cette équipe.

La frustration et l'embarras devaient être évidents pour ceux qui avaient organisé la conférence de presse, confrontés à cette question totalement inappropriée.

En fin de compte, cette situation met en lumière le besoin crucial d'éthique et de respect dans le journalisme sportif, ainsi que l'importance de protéger les joueurs des médias sensibles ou intrusifs.

Le malaise qui planait dans la salle ne faisait que renforcer l'idée que certains sujets doivent être abordés avec tact et discernement, et qu'il est impératif de respecter les limites des personnes interrogées.

Ce journaliste devrait avoir honte. 

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