Éric Dubois, le père de Pierre-Luc Dubois, a  pris la défense de Pascal Vincent sur les ondes du 98,5 FM. Une démarche suscite un certain malaise.

En effet, Dubois fils a souvent été perçu comme une véritable princesse à Winnipeg, et Vincent n'a jamais vraiment réussi à exercer un contrôle sur lui.

Voici ce qu’Éric Dubois a déclaré :

« C'est un gars qui a appris avec Paul Maurice comme assistant avec les Jets de Winnipeg. Après ça, il est redescendu dans la Ligue américaine pour être en chef et ensuite remonter dans la Ligue nationale.

Il sait vraiment ce qu'un jeune doit améliorer dans son jeu pour éventuellement aboutir dans la Ligue nationale. C'est un gars qui est très méticuleux. C'est un gars qui a un message très clair auprès de ses joueurs. »

Disons que pour la crédibilité, on repassera. On parle quand même du père de Pierre-Luc Dubois, le joueur le plus toxique de la LNH.

Depuis le départ de Dubois des Jets de Winnipeg, l'équipe a connu une métamorphose spectaculaire et ce n'est pas pour rien. 

Le départ de Dubois vers les Kings de Los Angeles en échange de Iafallo, Vilardi, Kupari et un choix de deuxième ronde en 2024 est devenu un tournant positif historique pour les Jets.

Il ne faut pas ignorer la controverse qui a entouré le départ de l'attaquant québécois. Les critiques fusaient de partout à Winnipeg à l'égard de Pierre-Luc Dubois, qualifié de "bébé gâté" dont la présence aurait nui à l'atmosphère de l'équipe.

Dubois était perçu comme une diva exigeant des conditions spéciales pour son utilisation sur la glace à Winnipeg et Vincent, en charge des attaquants, s'est toujours couché devant le Québécois.

Jérémie Roenick, ancien joueur de la NHL, avait anticipé ces problèmes en déclarant que Dubois agissait comme un "grand bébé" depuis son entrée dans la ligue et que les entraîneurs à Winnipeg mangeaint dans sa main.

Il a eu raison sur toute la ligne.  Aujourd'hui, Dubois est considéré comme le joueur les plus toxiques de la ligue, ayant laissé derrière lui une réputation controversée.

Les Jets, quant à eux, semblent s'épanouir sans la présence de cette "diva" au sein de leur effectif, consolidant ainsi la thèse selon laquelle le départ de Dubois a été une décision nécessaire pour le bien-être de l'équipe, car les entraîneurs n'étaient pas capables de le gérer.

Le père de Pierre-Luc Dubois a voulu prendre la défense du nouveau coach du Rocket de Laval...mais a amplifié le malaise...

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