Malaise à la télévision anglophone.

Encore une fois, les journalistes torontois nous prouvent qu'ils ne sont aucunement objectifs.

Hier, lorsqu'ils se sont penchés sur l'incident impliquant Morgan Rielly, qui a infligé un double-échec au visage de Ridly Greig, on ne pouvait s'empêcher de ressentir un profond malaise devant leur manque de neutralité.

Pour eux, il n'y avait rien de grave. Pincez-nous quelqu'un.

Si un geste similaire avait été commis par Brendan Gallagher, les médias torontois se seraient déchaînés sur lui, le présentant comme une figure à lyncher médiatiquement.

Cet exemple flagrant montre bien qu'à Toronto, l'éthique journalistique et l'impartialité dans le traitement de l'information n'existent pas.

Ces journalistes sont tellement habitués de favoriser leur équipe locale, quelles que soient les circonstances, qu'ils en deviennent ridicules. Cela ternit leur réputation et mine la crédibilité de leur profession.

On se demande s'ils avaient le même discours dans une situation où leur enfant se ferait attaquer de la sorte. Une véritable blague télévisuelle.

Malheureusement, chez nos amis les journalistes torontois, leurs semblent reléguées au second plan au profit de défendre les Leafs coûte que coûte.

Le manque d'objectivité des journalistes anglophones, en particulier ceux de Toronto, est non seulement décevant, mais également préoccupant.

À les écouter, tu as le droit d'asséner un double-échec à n'importe qui si ce dernier fait son baveux ou montre de l'arrogance.

Bienvenue à Toronto. Ridicule...

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