Jean-Charles Lajoie a frappé fort, très fort, en détruisant sans pitié le Canadien de Montréal.
Pour une fois, TVA Sports, qui flatte le CH dans le sens du poil pour ne pas perdre ses privilèges, a osé sortir les griffes.
Bravo! Il était temps que quelqu'un mette les gants de boxe et cesse de traiter le CH dans la ouate.
Dans une sortie cinglante et inattendue, Lajoie a affirmé sans détour que c'était tout simplement le pire camp d’entraînement qu'il ait jamais vu de sa vie.
Et honnêtement, ça fait du bien de voir TVA Sports marcher sur le Canadien pour une fois. Oui, ce n'est pas tous les jours que cette chaîne, trop souvent soumise devant l’empire du CH, s’en prend à l'organisation avec une telle virulence. Ouch!
Lajoie a été sans pitié.
Selon lui, le Canadien n'a rien montré de rassurant, ni sur la glace, ni dans les matchs préparatoires, et encore moins lors des entraînements.
La fiche de 2-4? Il s’en fout, et il a bien raison. Ce qui compte, c’est la manière, et de ce côté-là, le CH est en échec total.
« C’est même très inquiétant », a-t-il lancé, tel un coup de poignard dans le ventre d’une équipe déjà fragile sur le plan mental...et physique...
C’est là que Lajoie a frappé le plus fort : en comparant la direction actuelle du CH à celle du bon vieux Michel Therrien.
Selon lui, Therrien préparait son équipe pour démarrer la saison en force, amassant des points précieux dès octobre.
Mais ce Canadien-là, version St-Louis, semble déjà perdu. Pas de système de jeu clair, un avantage numérique catastrophique, et des joueurs-clés qui déçoivent.
Joshua Roy et Logan Mailloux? « Amèrement déçu », a affirmé Lajoie, sans aucune pitié.
Mais la vraie perle de cette critique, c'est quand Lajoie laisse tomber cette bombe : le CH a passé son camp d'entraînement "sur les talons", comme s'ils avaient la « chienne ».
Voilà, enfin quelqu’un qui le dit tout haut !
Ce Canadien a peur. Peur de perdre, peur de se blesser, peur de jouer. Une équipe paralysée par la peur, dirigée par une organisation qui semble naviguer à vue, sans plan clair.
Le Canadien a tenté de nous faire croire qu’il serait « dans le mix » cette saison, mais Lajoie ne s’est pas laissé feinter.
Il compare cette promesse à une paire de « lunettes roses » que la direction tente de faire porter aux partisans. On est loin de l’époque où TVA Sports brossait un portrait optimiste du moindre espoir prometteur.
Jean-Charles Lajoie a mis les pieds dans le plat et il a eu bien raison.
Son verdict est cinglant : ce camp d’entraînement est un échec monumental. Il est rare, voire inédit, de voir TVA Sports, d’habitude si tendre avec le Canadien, sortir les couteaux.
Alors que d'autres médias caressent encore l'organisation en espérant des jours meilleurs, Lajoie, lui, frappe fort et sans détour.
Peut-être que ça réveillera le CH, peut-être pas. Mais au moins, pour une fois, quelqu’un a eu le courage de dire tout haut ce que plusieurs pensent tout bas : ce Canadien est à la dérive, et la saison ne fait que commencer.
Bravo, Jean-Charles, continue de jouer à l'insoumis.
Il est loin d'être le seul à s'en prendre à Martin St-Louis.
Sur TSN, on entend les mêmes critiques cinglantes : le Canadien de Montréal n’a aucun système de jeu. Pas de cohésion collective, pas de direction claire.
« Ça fait pitié », disent-ils, et difficile de ne pas être d’accord quand on voit ce que le CH a offert lors du calendrier pré-saison.
Alors que St-Louis clame qu’il a un plan bien établi, ce que l’on voit sur la glace est un groupe sans âme, sans stratégie apparente, et complètement désorganisé.
Les analystes de TSN sont aussi directs que Lajoie. Selon eux, le jeu du Canadien est "anarchique", comme si St-Louis n’avait pas encore compris comment installer un système qui fonctionne dans la LNH.
Et c’est exactement ce que soulignait Jean-Charles Lajoie : "Sur le plan collectif, on n’a rien vu."
Comment peut-on espérer rivaliser avec les meilleures équipes si les bases mêmes du jeu, comme la structure défensive et l’organisation en avantage numérique, sont inexistantes?
Lajoie a même laissé entendre que les décisions de St-Louis semblent dictées par la peur : peur de perdre, peur de voir les joueurs-clés échouer ou se blesser, peur d’assumer des risques.
Cette même crainte transparaît dans les paroles de TSN, qui insiste sur l’incapacité de St-Louis à imposer une identité claire à son équipe
. Il y a une différence flagrante entre la liberté créative qu’un entraîneur peut donner à ses joueurs et le chaos complet qui découle d’un manque de préparation tactique.
Malheureusement pour le Canadien, St-Louis est en train de basculer du mauvais côté de cette ligne.
Même la gestion des unités spéciales est un véritable naufrage. Avec un avantage numérique qui affiche un humiliant 0 en 30 en matchs préparatoires, il est impossible de croire que le Canadien est prêt pour le début de la saison.
Et là encore, Lajoie tape dans le mille : pourquoi St-Louis n’a-t-il pas utilisé sa première unité en intégralité lors des matchs préparatoires?
Pourquoi avoir attendu si longtemps pour travailler un aspect aussi fondamental du jeu?
La réponse semble claire : St-Louis ne sait pas comment gérer cette équipe et peine à prendre les décisions difficiles qui s’imposent.
Jean-Charles Lajoie a raison de sonner l'alarme, et il n’est pas le seul. Les voix se multiplient, et elles pointent toutes dans la même direction : Martin St-Louis est en train de perdre pied.
Aucun système de jeu cohérent, aucune identité claire, et ce manque de préparation va coûter cher.
Si St-Louis ne redresse pas rapidement la barre, cette saison pourrait bien tourner au désastre, avant même qu’elle ne commence.
Il est rare de voir une telle unanimité dans les critiques envers un entraîneur du CH si tôt dans la saison, mais les faits sont là.
Le Canadien de Montréal fait pitié, et le plus inquiétant, c’est qu’il semble que Martin St-Louis n'ait aucune idée de comment résoudre la situation.
Si rien ne change, les rêves de "mix" en série éliminatoire pourraient rapidement se transformer en cauchemar.
Au moins, on va obtenir un autre choix TOP 5. Dans le fond, St-Louis est le coach parfait pour arriver dans la cave.