Malaise de Justin Bieber dans les gradins: commotion à Toronto

Malaise de Justin Bieber dans les gradins: commotion à Toronto

Par Marc-André Dubois le 2025-05-18

Inquiétude dans les gradins de Toronto. Justin Bieber n'est pas bien.

Le chanteur, silhouette effacée sous un chapeau très étrange, les yeux perdus, la mâchoire crispée, les mouvements saccadés. Et à côté de lui, Hailey Baldwin Bieber, sa femme, visiblement préoccupée, tentant de le recentrer dans le moment présent. Sans succès.

Le choc a été immédiat. Les images de Bieber au match sont devenues virales en quelques minutes. Son regard vide, son corps affaissé, sa non-réaction mentale… tout le monde a compris. 

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Quelque chose ne va pas. Et ce n’est pas nouveau. Ce n’est pas un moment isolé. Ce n’est pas une fatigue passagère. C’est le reflet d’un effondrement profond.

Ce septième match n’a été que la dernière goutte d’un vase fissuré depuis des mois. En décembre 2022, Justin Bieber vendait l’ensemble de son catalogue musical à Hipgnosis Songs Capital pour 200 millions de dollars.

Un chiffre impressionnant… jusqu’à ce qu’on apprenne la vérité dans un nouveau documentaire-choc de TMZ : Bieber était fauché. En faillite technique. Sur le bord du précipice financier.

Pendant plus d’une décennie, le chanteur avait amassé entre 500 millions et un milliard de dollars. Mais au moment de vendre ses droits, selon TMZ, il était en état de panique. Scooter Braun, son ancien manager, aurait tenté de lui faire attendre janvier 2023 pour un allègement fiscal. Mais Justin aurait répondu :

« Je dois vendre maintenant. »

Il a vendu. Parce qu’il était brisé. Parce qu’il n’avait plus rien. Parce que ses décisions récentes — comme annuler sa tournée Justice World Tour — l’avaient plongé dans un gouffre financier estimé à plusieurs dizaines de millions.

Selon les producteurs du documentaire, s’il avait mené sa tournée à terme, Bieber aurait empoché 90 millions de dollars. Mais son état de santé, physique comme mental, l’a forcé à tout abandonner.

Et avec cette décision, le château de cartes a commencé à s’écrouler. Des jets privés, des mégas-villas payées comptant, huit bus de tournée, dont un à deux millions en rénovations… une vie de luxe à laquelle il n’était plus capable de faire face.

Le plus inquiétant, c’est que cette chute s’est faite dans le silence. Aucun communiqué, aucune alerte. Juste des vidéos de plus en plus étranges sur Instagram. Comme cette récente séquence où il rappe, torse nu, les yeux dans le vide, en mangeant des chips, pendant que son ami fume une cigarette à côté.

« Je vole comme un gars qui vole haut, comme une cornemuse, comme un bad guy… »

C’est presque douloureux à regarder. Ce n’est pas une performance. C’est une confession.« Je vole comme un mec qui vole haut, comme une cornemuse, comme un bad guy… »

Sur toutes les photos récentes, Justin a l’air absent. Cernes profonds, visage amaigri, regard ailleurs. Et chaque apparition publique alimente la même question : Est-il retombé? Est-il à nouveau prisonnier des substances qui ont failli lui coûter la vie dans les années 2010?

En 2021, il avait confié à GQ qu’à l’époque, ses gardes du corps vérifiaient son pouls la nuit, tellement il était intoxiqué. Il avait affirmé avoir touché le fond, puis avoir trouvé la lumière grâce à sa foi, sa sobriété et Hailey. Mais aujourd’hui, les vieux démons semblent être revenus.

Et cette fois, ils sont plus rusés. Plus discrets. Plus dangereux.

Le timing n’aurait pas pu être plus tragique. En août 2024, Justin et Hailey ont accueilli leur premier enfant, Jack Blues.

Un événement censé apporter la joie, la renaissance. Mais selon un proche, cité par People, Bieber fait actuellement « de très mauvais choix » qui affectent son entourage, ses finances et ses amitiés.

Ce n’est pas qu’un père qui souffre. C’est un homme qui se débat avec lui-même, incapable d’offrir un environnement stable à son fils.

D’ailleurs, une autre rumeur court : la relation avec Hailey serait sur la corde raide. Si elle continue d’apparaître à ses côtés en public, c’est plus par devoir que par amour, selon certains témoins.

Hailey tente de sauver ce qu’il reste à sauver. Mais elle ne peut pas faire tout le travail seule. Et elle le sait.

La machine de relations publiques de Justin tente tant bien que mal de repousser les attaques. Chaque fois qu’une photo inquiétante circule, on nous sort une excuse : une nuit blanche à s’occuper du bébé, une session de studio prolongée, une lumière mal placée.

Mais les fans ne sont pas naïfs. Les réseaux sociaux sont inondés de commentaires alarmés :

— « On le perd. »

— « Hailey a l’air d’en avoir marre. »

— « Ce n’est plus le même gars. »

— « C’est pas une mauvaise passe, c’est un effondrement. »

Et pendant ce temps, Justin partage une image floue, une phrase cryptique sur Dieu, un verset biblique… puis disparaît.

Il faut se rappeler ce que représente Justin Bieber pour le Canada. Il n’est pas qu’une célébrité. Il est le succès de toute une génération. Un enfant découvert sur YouTube, qui a défié toutes les règles pour devenir une légende planétaire.

Mais aujourd’hui, cet enfant dérive dans les gradins d’un match de hockey, incapable de sourire, de réagir, de vivre. Il regarde le jeu, sans le voir. Il regarde les gens, sans les voir. Et le pays tout entier regarde son idole sombrer.

Ce n’est pas une campagne de désinformation. Ce n’est pas une attaque gratuite. C’est un appel à l’aide. Un cri collectif. Un signal d’alarme.

Oui, Justin Bieber semble défoncé au match #7. Mais au fond, il est surtout brisé. Épuisé. Égaré. Et il n’a pas besoin de moqueries, mais de soutien.

Nous avons le devoir, en tant que public, d’arrêter de consommer sa douleur comme un divertissement. Justin Bieber est un humain. Un père. Un mari. Un fils. Et surtout, un être vulnérable.

À Hailey : courage. À ses proches : agissez. À lui : il n’est jamais trop tard pour se relever.

Et à nous tous : n’attendons pas un hommage posthume pour lui dire à quel point il compte.

Et quelque part, il y avait quelque chose de tragiquement symbolique dans cette soirée. Comme si les Leafs s’effondraient à l’image de leur plus grand fan.

Comme si la déconfiture sur la glace reflétait l’état d’âme d’un homme en perdition. Justin Bieber regardait son équipe se faire démolir, incapable de réagir, tout comme il regarde sa propre vie lui glisser entre les doigts.

C’était plus qu’un match. C’était une métaphore cruelle. La fin d’un rêve collectif pour Toronto. Et la confirmation que Justin, lui aussi, est en train de perdre sa partie la plus importante.