Maxim Lapierre, dans sa tentative maladroite de défendre Brendan Gallagher après le coup à la tête infligé à Adam Pelech, semble avoir perdu tout contact avec la réalité du jeu et la responsabilité des joueurs envers leurs adversaires.

Son affirmation selon laquelle Gallagher n'avait pas l'intention de blesser Pelech relève davantage de la fiction que de la réalité observable sur la glace.

En tant qu'ancien joueur lui-même, Lapierre devrait comprendre l'importance cruciale de la sécurité des joueurs et reconnaître quand un geste dépasse les limites de la compétition loyale.

Pourtant, son insistance à minimiser la gravité du coup porté par Gallagher démontre une absence totale de jugement et de sensibilité envers les conséquences potentiellement dévastatrices des actions des joueurs sur la glace.

Affirmer que le coup à la tête de Gallagher n'était pas intentionnel est non seulement déconcertant mais aussi profondément irresponsable.

Les images sont claires, l'intention de Gallagher de frapper Pelech au niveau de la tête ne peut être niée ni excusée. En essayant de justifier l'injustifiable, Lapierre se met du côté de ceux qui minimisent les risques pour la sécurité des joueurs, ce qui est inacceptable dans un sport où les blessures graves sont malheureusement trop fréquentes.

Il est temps que Lapierre retrouve son sens de la réalité et qu'il mette de côté ses loyautés partisanes pour se concentrer sur la protection des joueurs et l'intégrité du jeu.

Affirmer que le coup de Gallagher n'était pas intentionnel est non seulement déraisonnable, mais cela met en danger la crédibilité de ceux qui cherchent à enrayer les coups à la tête.

Comment diraient les Anglophones. "Dear Max, Do better. Be better".

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