- Marc Bergevin se sent MAL...pour Kyle Beach...

- Et CRACHE sur sa COUPE STANLEY à Chicago...

«Je me sens horriblement mal pour le jeune, a-t-il confié. C’est horrible.»

«C’est triste, c’est quelque chose qui n’aurait jamais dû arriver. On a gagné la Coupe Stanley et maintenant, tu regardes en arrière et tu te dis, mon Dieu, c’est comme un nuage noir qui reste au-dessus de cette conquête-là.»

- Il confesse aussi ses émotions face à son équipe POURRIE...et se trouve des EXCUSES..

«Dès le début du camp, je ne voyais pas l’énergie»

«Tu regardes maintenant la saison, on n’a pas Carey et deux de nos quatre meilleurs défenseurs sont partis. Ça crée un grand vide dans notre équipe. Regarde les joueurs qu’on a perdus».

«On n’est pas là. C’est l’histoire de notre équipe cette année. On n’était pas engagés au premier jour du camp, et cela s’est prolongé jusqu’au début de la saison. Et là, on en paie le prix. C’est difficile à regarder quand l’équipe a été si bonne pendant deux mois et demi de séries et qu’elle tombe à plat dès le début de la saison. C’est difficile à comprendre.»

«Parfois, je vois une équipe qui se rend en troisième période avec un pointage égal et on joue pour ne pas perdre au lieu de jouer pour gagner. C’est un état d’esprit qui règne dans notre équipe et qui doit disparaître. (...) On n’a tout simplement pas confiance en nos moyens en ce moment. L’exécution n’est pas là.»

«Il y a des soirs où on ne peut même pas faire une passe de dix pieds.»   

Lorsque je suis  descendu dans le vestiaire pour apprendre à mes joueurs que Carey Price quittait pour le programme d’aide de la LNH, l’annonce a eu l’effet d’un coup de massue.

«C’est comme si je les avais assommés. Ils ont été pris au dépourvu. Je pense qu’il y a pu y avoir un sentiment de culpabilité parmi eux de ne pas avoir été en mesure de l’aider. Je ne pense pas qu’ils se soient remis de ça.»

«Il est dans un bon état d’esprit, et j’ai toujours dit à notre équipe et à nos joueurs que leur famille et leur santé passait avant tout. On ne précipitera jamais le retour de Carey. Il nous dira quand il sera prêt. Quoi qu’il arrive, je ne pourrais pas dormir tranquille en sachant que j’ai forcé Carey à jouer alors qu’il n’est pas prêt.»

«C’est business as usual, Geoff et moi avons une bonne relation, a confié Bergevin. On communique presque tous les jours, j’ai toujours été franc et transparent avec lui, et ça ne changera pas. Cela fait partie de la business. Je n’ai pas de problème avec ça. Les choses sont comme elles sont. Mais cela n’affecte pas ma gestion quotidienne du Canadien de Montréal.»

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