Mario Dumont redonne de la lumière à la ville de Québec. La lumière de l'espoir.

L'ancien politicien et fugure numéro un de TVA-LCN, a partagé des informations sur le possible retour des Nordiques de Québec dans la Ligue nationale de hockey (LNH).

Selon ses affirmations, les Nordiques ont encore toutes les chances de faire leur grand retour à Québec. Malgré le scepticisme ambiant, Dumont demeure convaincu de la faisabilité de ce projet. Alors que le maire de Québec semble défaitiste quant à cette éventualité, Dumont, lui, reste résolument optimiste.

Certes, le retour des Nordiques n'est pas une certitude. Les discussions sur une éventuelle expansion de la LNH sont en cours, et le ministre des Finances, Eric Girard, a évalué les chances à seulement 10%. Néanmoins, cette probabilité modeste n'arrête pas Dumont dans sa conviction que Québec a sa place dans la ligue.

Face à cette initiative, l'opposition politique exprime des critiques cinglantes Pour certains, le faible pourcentage de succès justifierait l'inaction et de hisser le drapeau blanc.

Cependant, cette approche est vivement contestée par Dumont et d'autres partisans du projet. Ils soulignent que l'absence d'effort dans une compétition où le Québec est en lice serait une erreur majeure...une honte nationale...

"Doit-on comprendre que pour l’opposition, si le Québec se retrouve dans une compétition avec plusieurs pays et États américains pour obtenir un projet, ils n’essaieront même pas? Bof! Nos chances sont trop faibles de l’emporter, restons les bras croisés. Si quelqu’un pense vraiment de cette façon à l’Assemblée nationale, il devrait quitter ses fonctions sur-le-champ." (crédit: Journal de Montréal, Mario Dumont)

Dumont dénonce une passivité politique désastreuse et estiment que cette attitude est motivée par la partisanerie plutôt que par une évaluation objective des enjeux.

"Je crois plutôt qu’ils ont été étouffés par la partisanerie. Ils veulent tellement que la CAQ échoue qu’ils finissent inconsciemment par souhaiter que le Québec échoue. Attention!"

Malgré les réticences et les doutes, Dumont insiste sur l'importance de maintenir un discours proactif. Il rejette l'idée que la préférence de Gary Bettman, le commissaire de la LNH, pour le marché américain rende impossible le retour des Nordiques.

Il rappelle que Bettman a déjà réintégré une équipe à Winnipeg et que les échecs dans certains marchés américains montrent les limites de cette stratégie.

Concernant le voyage d'Eric Girard à New York pour rencontrer les dirigeants de la LNH, Dumont soutient cette initiative. Il affirme que rappeler à la ligue l'intérêt de Québec est un devoir pour le gouvernement.

Dumont insiste sur le fait que cette démarche n'engage pas de risques financiers majeurs et qu'elle témoigne simplement de l'engagement du Québec envers ce projet.

Bien que les chances de voir les Nordiques revenir à Québec puissent sembler minces, Dumont et ses partisans encouragent à maintenir un discours réaliste mais optimiste.

Ils clament que l'histoire des Nordiques ne devrait jamais être oubliée et que le désespoir ne peut remplacer la volonté de concrétiser ce retour, qui, selon eux, serait à la fois une fierté pour la région et une opportunité économique majeure.

Mario Dumont y croit dur comme fer. Mais il faut dire qu'il est la tête d'affiche de Quebecor. Ça peut donner de l'espoir, mais attention de ne pas tomber dans le panneau...

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