Brendan Gallagher, le vétéran bien-aimé du Canadien de Montréal, est sous le feu des critiques après avoir écopé de deux pénalités coûteuses lors du match contre les Oilers.

La deuxième punition, survenue en fin de match lors d'un repli défensif, a particulièrement irrité les partisans et les observateurs.

Si la passion et l'intensité de Gallagher sont souvent saluées, son manque de discipline en fin de partie a soulevé des inquiétudes.

Prendre des pénalités à des moments cruciaux peut avoir des conséquences graves pour l'équipe, et dans ce cas, c'était la deuxième fois de la soirée que Gallagher se faisait prendre dans cette situation.

Accrocher un adversaire lors d'un repli défensif est souvent le résultat d'une incapacité à suivre le rythme du jeu.

Le problème soulevé par cette situation est la question de la justice et de la cohérence de l'entraîneur-chef Martin St-Louis dans ses prises de décision.

Si un joueur moins établi que Gallagher avait commis ces erreurs, il aurait probablement été mis à l'écart de l'alignement depuis longtemps.

Pensons à Joel Armia par exemple.

La situation délicate pour St-Louis réside dans le fait que punir un guerrier comme Gallagher est une tâche ardue, étant donné sa stature dans l'équipe et son historique de dévouement envers le Tricolore.

La cohérence de St-Louis sera mise à l'épreuve dans la gestion de cette situation délicate.

Si le Canadien veut maintenir une culture d'équité et de responsabilité, il devra peut-être prendre des décisions difficiles, même en ce qui concerne des joueurs emblématiques.

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