- Mattias Norlinder a PEUR des petites patinoires?

«Ce sera la première fois que je joue sur une petite patinoire (ndlr : les surfaces de jeu internationales sont plus grandes que les aires nord-américaines). J’espère que je n’entrerai pas en collision avec quelqu’un en pourchassant la rondelle!»

- Son président à Frolunda, Christian Lechtaler, ne s'en fait pas pour lui...

«Sur la glace, il peut être celui qui peut être un "game changer". C’est son point fort. Chaque soir, il se passe quelque chose de spécial dans sa tête. Ça, tu l’as ou tu ne l’as pas.»

«Tout le monde l’aime dans l’équipe. C’est un bon coéquipier. C’est toujours une qualité importante.»

«Il est tellement talentueux dans chacune des facettes du jeu, martèle-t-il. Il me fait penser à un Erik Gustafsson, plus jeune. Personne ne croyait en lui lorsqu’il est arrivé avec nous (en 2013-2014). Nous avons travaillé avec lui et il a aidé la Suède à remporter le Championnat du monde, puis il a connu du succès dans la LNH. 

«Nous avons eu un jeune attaquant avec nous, il y a quelques années : Artturi Lehkonen. Il a connu des hauts et des bas à sa première année. Il a été plus constant l’année suivante et il a fait le saut à Montréal par la suite.»

«Il doit surtout apprendre à mieux se concentrer et développer le côté mental du jeu. À domicile comme à l’étranger, au début comme à la fin d’un match. Il doit gagner de l’expérience et jouer beaucoup pour devenir un joueur dominant».

«John Klingberg. On a travaillé avec lui et il est maintenant parmi les meilleurs défenseurs de la LNH. Mattias a le même bagage que lui quand il était ici.» 

«Il pourrait aussi connaître une belle carrière s’il travaille et qu’il devient plus fort, comme Johnny.»

- Norlinder, veut jouer...comme Cale Makar..

«Je visionne des montages de ses jeux dans mes entraînements individuels. J’aimerais jouer comme lui».

 

 

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