- Michel Bergeron FRAPPE Martin St-Louis en dessous de la ceinture.

- Selon les infos de BERGY..

- La relation entre Jonathan Drouin et Martin St-Louis est TOXIQUE...

- Contrairement à ce qu'affirme les deux principaux intéressés...qui continuent de clamer qu'ils ont une relation SAINE et productive.

Même si Drouin joue bien et travaille fort présentement, il poursuivra sa carrière avec une autre équipe la saison prochaine. Je ne crois pas qu’il ait une belle relation avec son entraîneur. On ne sait pas non plus si le retard de deux minutes était le premier incident. 

Normalement, ces histoires demeuraient à l’interne. D’autres joueurs ont été sanctionnés cette saison par leur organisation, notamment avec des amendes, mais le seul cas qui a été rendu public, c’est celui de Drouin. C’est dommage.

Le Québécois va sûrement recevoir une offre d’une autre formation, à un salaire moins élevé — il empoche 5,5 millions $ cette année. L’Europe pourrait aussi être une avenue pour lui.

Quant à St-Louis, il vit sa première expérience comme instructeur. Je ne pense pas que cette situation va se reproduire. Il trouvera d’autres moyens pour faire passer ses messages. Si c’est Nick Suzuki qui arrive en retard de deux minutes à une réunion, si le Canadien se bat pour une place en séries, est-ce qu’il ferait le même choix ? Il faut éviter de punir l’ensemble de l’équipe.

- Bergeron n'en finit pas là..

- Il fait ensuite son FRAIS en affirmant qu'il n'aurait jamais une chose pareille..

- Il n'aurait JAMAIS HUMILIÉ un joueur en le laissant sur le banc un match au COMPLET.

Jamais dans ma carrière d’entraîneur je n’ai cloué au banc un joueur durant un match complet, comme l’a fait Martin St-Louis avec Jonathan Drouin la semaine dernière. Jamais dans le junior, jamais dans la LNH.

J’ai déjà fait sauter des tours à un athlète pendant une rencontre ou laisser un gars de côté en raison d’une blessure.

Je pense notamment à Dale Hunter lors d’un match entre les Nordiques et le Canadien. Il avait le nez fracturé et il voulait absolument jouer. Mais dès sa première présence sur la glace, on a vite réalisé qu’il n’était pas en mesure de nous aider. Toutefois, il était demeuré sur le banc, car il était une source de motivation pour ses coéquipiers.

Je me rappelle aussi qu’au match d’ouverture des Rangers, trois joueurs étaient arrivés en retard. Mon patron à l’époque, Phil Esposito, m’avait dit : « Bergie, that’s New York ! »

- Décidément..

- Michel Bergerin en a PLEIN le DERRIÈRE de Martin St-Louis..

- À ne pas inviter au même PARTY...

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