- Mike Ribeiro est dans le TROU...

- De retour dans la DROGUE...

- Dans l'ENFER de la POUDRE..

- Accusé de partout d'AGRESSION sur deux jeunes femmes..

- MAD MIKE n'a plus qu'un seul homme dans son coin..

- Bob Perno...

«Je continue de l’aider et de le conseiller, mais je ne suis pas payé pour ça. Ça ne me dérange pas, je fais ça parce que je l’aime. J’essaie de l’aider du mieux que je peux. C’est facile de critiquer tout le monde, mais quand tu es impliqué de très près avec quelqu’un qui a des problèmes de consommation, c’est une autre histoire. C’est une maladie difficile à vaincre. Je pense que Mike pourrait en faire beaucoup plus pour s’en sortir, mais il essaie.» affirme son (ancien) agent, Bob Perno...

«Ça m’arrive de me fâcher contre lui parce que je le traite comme si c’était mon enfant, d’une certaine façon. Je veux qu’il se sorte de sa maladie. Je ne le laisserai jamais tomber.» 

«Quand il jouait au Québec, j’essayais d’être son père et de le ramener sur la bonne voie. Je pouvais avoir un meilleur contrôle sur lui. Quand il est parti à Dallas, j’étais loin de lui, ses parents aussi. Il a rencontré des gens qu’il n’aurait pas dû rencontrer. Il est facile à influencer, c’est ce qui est arrivé. C’est là qu’il a commencé à avoir de gros problèmes.»

«On a parlé beaucoup des trois amigos à Montréal, mais d’autres joueurs sortaient bien plus qu’eux à l’époque et ils ne faisaient pas la Une des journaux parce qu’ils n’étaient pas des Québécois. Les médias suivent toujours plus les joueurs québécois, ce qui est tout à fait normal, mais c’était beaucoup exagéré. Oui, ils ont fait des choses qu’ils n’auraient pas dû faire, mais ils étaient jeunes, riches, célèbres et beaux et ils ont essayé de profiter de la vie.»

«Mike, c’est un drôle de spécimen. Il a toujours été un genre de rebelle. Il fait toujours à sa tête. Il y a eu des événements dans sa vie lorsqu’il était jeune. Il a été élevé dans un quartier rough, ce n’était pas facile. Il a pris des habitudes de vie à un jeune âge qui ne sont pas recommandées.»  

«Quand je l’ai vu jouer pour la première fois, il m’a fait penser à Mario Lemieux en raison de sa vision du jeu. Je suis tout de suite tombé en amour avec lui.

«La seule chose, c’est son comportement hors glace. Il réussissait toujours à performer sur la glace même s’il ne respectait pas le couvre-feu, qu’il ne prenait pas soin de son corps et qu’il était allergique au gym. C’est quand même incroyable! C’est grâce à son talent qu’il a eu tant de succès.»

On entend toujours parler des mauvaises choses à son sujet, mais il est l’un des rares Québécois à avoir joué 1000 matchs dans la LNH. C’est tout un exploit. Je crois que Mike jouerait encore dans la LNH s’il avait pris soin de lui. Ce n’était pas son coup de patin qui lui faisait gagner sa vie, ni son lancer, c’était son intelligence. Ce style de joueur peut jouer longtemps dans la LNH. Tu peux perdre ton coup de patin avec l’âge, mais il n’en avait pas, alors il n’en avait pas à perdre!»

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