C’est l’attaque la plus pathétique et hypocrite que TVA et LCN aient osé sortir cette année.
Alors que le Super Bowl battra encore des records d’audience dimanche, alors que RDS encaisse de juteux contrats publicitaires, alors que des millions de Québécois se rassembleront devant leur téléviseur, TVA et LCN ont trouvé le moyen de décrédibiliser l’événement.
Dans un acte désespéré digne d’un enfant jaloux, Quebecor Média osé brandir la menace des tarifs douaniers de Donald Trump et des tensions commerciales avec les États-Unis pour tenter de faire passer RDS et le Super Bowl pour un symbole d’immoralité économique.
Soudainement, regarder le plus grand événement sportif de l’année deviendrait un acte politique douteux ?
Soudainement, célébrer le sport, la culture et le divertissement serait un problème moral pour TVA et LCN ?
Non.
La vérité, c’est qu’ils n’ont pas les droits de diffusion du Super Bowl. Si TVA possédait ces droits, cette histoire ridicule n’existerait pas.
Et c’est Jeff Fillion, l’homme qui fait trembler les médias traditionnels, qui a mis le doigt sur l’hypocrisie crasse de TVA et LCN en déclarant :
« Si les droits du Super Bowl appartenaient à TVA, LCN ne ferait pas un reportage pour accuser RDS et le Super Bowl. »
Et il a raison.
TVA et LCN sont prêts à tout pour discréditer leurs compétiteurs. Ils essayent de noircir le Super Bowl, de salir l’événement, d’effrayer le public, mais la réalité est simple :
S’ils avaient l’exclusivité du Super Bowl, ils se rouleraient dans le cash et diffuseraient les pubs à 15 000$ les 30 secondes sans se poser la moindre question.
Le Super Bowl serait alors "une tradition culturelle incontournable". Le Super Bowl serait "un moteur économique essentiel pour les médias québécois".
Mais comme ils n’ont pas les droits, ils changent leur discours et tentent de démoniser l’événement. C’est de la mauvaise foi pure et simple.
"Le public ne se laisse pas berner, et les réactions sur les réseaux sociaux sont sans équivoque :
"Que c'est idiot de boycotter. Le Super Bowl est la meilleure invention depuis le pain tranché."
"TVA est en train de sombrer, et ça se voit dans leurs attaques absurdes contre RDS."
"Ils sont jaloux de ne pas avoir le Super Bowl, c’est aussi simple que ça."
L’hypocrisie éclate au grand jour, et TVA se prend un retour de flamme monumental.
TVA et LCN peuvent crier au scandale autant qu’ils veulent, les chiffres parlent d’eux-mêmes :
1,4 million de téléspectateurs québécois en 2024. Une des rares émissions à voir ses cotes d’écoute AUGMENTER au fil des années.
Des revenus publicitaires en pleine explosion.
C’est un fait indiscutable : le Super Bowl est un événement télévisuel colossal au Québec. TVA sait que RDS engrangera une fortune grâce aux annonceurs.
TVA sait que le match sera vu par plus d’un million de Québécois. TVA sait que dimanche soir, personne ne regardera leur chaîne.
Et c’est ça qui les dérange.
TVA préfère brûler de l’argent dans TVA Sports plutôt que de faire des choix intelligents La réalité derrière cette attaque grotesque contre le Super Bowl, c’est l’échec cuisant de TVA Sports.
Et pendant que TVA investit dans un gouffre financier, ils laissent passer de vraies opportunités médiatiques.
Quand Marie-Claude Barrette a lancé son balado "Ouvre Ton Jeu", c’est devenu un succès instantané.
TVA aurait pu la garder.
TVA aurait pu lancer son propre balado avec elle.
Mais non.
Ils préfèrent financer un réseau de sports en perdition plutôt que d’innover. Ils préfèrent accuser RDS d’être immoral plutôt que de se regarder dans le miroir.
TVA est devenu un cimetière d’opportunités manquées, et cette nouvelle attaque contre le Super Bowl en est la preuve ultime.
Pendant que TVA et LCN tentent de salir le Super Bowl, le monde médiatique québécois observe leur chute avec un mélange d’étonnement et de pitié.
Ils ne savent plus quoi faire. Ils ne savent plus comment attirer les spectateurs. Alors ils s’attaquent à leurs compétiteurs avec des arguments ridicules.
Et pendant que TVA s’enfonce, RDS triomphe avec le Super Bowl.
C’est la dure réalité que TVA refuse d’admettre.
Et le pire dans tout ça ?
Le Super Bowl de cette année fera encore plus d’audience. RDS encaissera encore plus d’argent. Et TVA continuera à pleurer dans son coin en inventant des excuses pathétiques.
Dimanche soir, les Québécois regarderont le Super Bowl, et TVA n’y pourra rien.
Et ça, ça doit leur faire très, très mal.
Alors que le Super Bowl s'apprête à battre de nouveaux records d'audience ce dimanche, un curieux discours s'est élevé du côté de TVA et LCN.
Plutôt que de souligner l'ampleur de l'événement et son impact indéniable sur le paysage médiatique et économique, les deux chaînes ont choisi une stratégie bien différente : discréditer le match en le liant aux tensions commerciales entre le Canada et les États-Unis. Une attaque pour le moins hypocrite, qui ne trompe personne.
D'un ton alarmiste, TVA et LCN ont osé insinuer que le Super Bowl, diffusé sur RDS, était un symbole d’immoralité économique à cause des politiques tarifaires de Donald Trump.
Soudainement, regarder l'un des plus grands événements sportifs de l'année deviendrait un acte politiquement douteux.
Une affirmation aussi absurde que malhonnête, surtout venant d'un groupe qui, s'il possédait les droits de diffusion du Super Bowl, en ferait l'éloge sans la moindre réserve.
Cette incohérence a été mise en lumière par Jeff Fillion, l'une des voix les plus controversées (l'une des voix les plus VRAIES) du paysage médiatique québécois, qui a résumé la situation avec une lucide ironie :
"Si les droits de diffusion du Superbowl étaient sur TVA Sports… ils diraient quoi les p... à click ?"
Il a parfaitement raison. Cette attaque ne repose sur aucun fondement objectif : c'est simplement du ressentiment déguisé en indignation.
Si TVA et LCN avaient l'exclusivité du Super Bowl, le discours serait bien différent.
D'un coup, l'événement deviendrait une "tradition culturelle incontournable", un "moteur économique essentiel pour les médias québécois". Mais privés de cette manne financière, ils adoptent une posture moralisatrice absurde.
La réalité est que TVA sait très bien que le Super Bowl est une machine à audience et à argent. Ce qu’ils ne supportent pas, c’est que ce pactole revienne à RDS et non à eux.
Pendant que RDS engrangera des millions dimanche soir, TVA devra se contenter d'une grille moribonde.
Derrière cette attaque grotesque contre le Super Bowl, c'est surtout l'échec cuisant de TVA Sports qui transparaît.
Pendant que TVA s'enfonce dans un gouffre financier, ils laissent passer de véritables opportunités. Leur incapacité à investir intelligemment se reflète aussi dans leurs décisions en matière de contenu.
TVA préfère financer un réseau sportif à l'agonie plutôt que d'innover. Ils préfèrent attaquer RDS plutôt que de se remettre en question. Mais à force de pointer du doigt les autres, ils oublient de regarder leur propre naufrage.
Pendant que TVA et LCN s'acharnent à dénigrer le Super Bowl, les chiffres parlent d’eux-mêmes :
RDS, en revanche, continue de prospérer. Et le Super Bowl de cette année ne fera qu’accentuer cet écart. Plus de téléspectateurs, plus de revenus publicitaires, plus d'engagement.
TVA n'y pourra rien.
Dimanche soir, les Québécois regarderont le Super Bowl, et TVA continuera à s’enfoncer dans ses contradictions. Ils pourront pleurer autant qu'ils veulent : l'événement leur échappe, et le succès de RDS est assuré.
Et ça, ça doit leur faire très, très mal. Au Québec, un autre sujet capte l’attention cette année : le prix demandé pour une capsule publicitaire québécoise durant le Super Bowl.
Alors que les entreprises locales cherchent à maximiser leur visibilité, les coûts des spots publicitaires explosent.
Certains annonceurs se demandent si ces investissements valent encore la peine, alors que d’autres voient dans le Super Bowl une opportunité inégalée pour toucher une audience massive et captive.
Les grandes marques québécoises sont-elles prêtes à rivaliser avec les géants américains pour quelques secondes de diffusion ?
Chaque année, des capsules publicitaires locales réussissent à marquer les esprits, certaines devenant même virales après le match.
Le débat reste entier : faut-il investir des sommes colossales pour une publicité diffusée durant cet événement, ou chercher des stratégies alternatives pour capter l'attention du public québécois ?
En attendant, TVA n'a que ses yeux pour pleuer.