- Le TÉMOIGNAGE de Patrice Brisebois...

- Sur la mort de Gino Odjick...

- Nous a donné les LARMES aux YEUX...

«Hier soir, on était avec les anciens Canadiens à Goose Bay quand Donald Audette m’a envoyé un texte-message pour me dire que Gino était décédé. C’est venu me chercher… «On a commencé ensemble… On s’est battu ensemble… Quand je dis battus ensemble, comme, dans la même équipe…

Quand Gino est arrivé à Laval, on se disait : ce gars-là ne peut pas jouer dans la LHJMQ. Son coup de patin n’était pas assez bon. Il manquait une couple de choses. Patrice Brisebois Mais quand il a sauté sur la patinoire contre les Olympiques de Hull, il a jeté les gants… On a dit : «Oh… Il y a quelque chose à faire avec ce gars-là. »

«Les Denis Chalifoux et les Donald Audette pouvaient se promener. S’il y en avait un qui les touchait, il ne finissait pas la soirée. Et on avait une équipe tough. La «House of pain», à Laval… On était talentueux et on était tough.

«Quand on parle des belles années junior. Le lundi soir, à Laval, c’est là que ça se passait. J’ai passé de maudites belles années là et j’ai passé de maudites belles années avec Gino. Gino, c’était le coéquipier exemplaire. Il était tout le temps là pour ses coéquipiers. Il aurait fait n’importe quoi pour ses coéquipiers.» Patrice Brisebois

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