- Nick Suzuki a bel et bien envoyé Max Domi sur le marché des transactions....

- Yvon Pedneault vient de le réaliser...

Par conséquent, Suzuki va-t-il modifier le plan de Bergevin au sujet de Domi ? 

Pourquoi a-t-on hésité à amorcer des négociations au sujet d’une nouvelle entente ? Devient -il un joueur qu’on doit exposer dans la vitrine ? Assurément.   

Pour la prochaine saison, Bergevin a un engagement financier de plus de 62 millions $, dont presque le tiers de cette somme viendra gonfler le compte de banque de Shea Weber et Carey Price. Brendan Gallagher, Phillip Danault, Joel Armia, Tomas Tatar (s’il est toujours avec l’équipe) et Jeff Petry compléteront la dernière année de leur entente. En 2021-2022, ils seront tous admissibles à l’autonomie complète.   

Présentement, Danault et Suzuki sont les deux premiers joueurs de centre de l’organisation. Peut-on se permettre un joueur de centre exigeant plus de 5 millions (et peut-être que Domi sera plus exigeant puisqu’il aura droit à l’arbitrage) pivotant la troisième ligne d’attaque ? 

Oui, c’est une alternative à regarder, d’autant plus que Suzuki accapare seulement 863 333 $ de la masse salariale. Sans doute faudra-t-il y ajouter des bonis. 

Cependant, Bergevin aura besoin de liquidités pour des négociations qui s’annoncent très intenses avec les joueurs qui pourront se prévaloir de leur statut de joueur autonome sans restriction en juillet 2022. 

Il ne reste plus que trois semaines pour effectuer des échanges. 

Au cours de la semaine, Bergevin aura quelques scénarios à peaufiner. Sans doute que la semaine prochaine, il aura fait un choix. 

Domi pourrait-il soulever l’intérêt de quelques formations ? 

Bergevin n’aura pas le droit à l’erreur. 

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