Il est un joueur qui brille sur la glace, qui est le meilleur joueur de l'équipe et qui incarne le futur prometteur du Canadien de Montréal. Son nom ? Nick Suzuki.
Pourtant, malgré ses exploits sur la patinoire, Suzuki peine à capturer le cœur des partisans, un fait qui n'échappe pas à Jean-Charles Lajoie.
"Celui dont on ne parle jamais d’emblée et que l’on finit par identifier plus bas dans la liste des favoris est le capitaine Nick Suzuki. Et pourtant, Suzuki devrait être le joueur le plus populaire du Canadien, mais je ne contrôle pas le ressenti profond des «fans» et je ne vais certainement pas leur dire qui aimer." (crédit: TVA Sports)
Dans l'imaginaire collectif des fans, c'est souvent Cole Caufield, Juraj Slafkovsky et Arber Xhekaj qui occupent le devant de la scène. Suzuki semble relégué au second plan, loin de la popularité qui entoure ses coéquipiers.
Pourtant, Suzuki mérite une place de choix dans le cœur des fans. À seulement 24 ans, il compte déjà une expérience considérable en NHL, avec 357 matchs au compteur.
Une fiabilité rare dans un sport aussi exigeant que le hockey. Suzuki ne manque jamais de matchs. Mais ce qui distingue véritablement Suzuki, c'est son jeu. Il est devenu le véritable pillier du Canadien, un centre de premier plan capable de rivaliser avec les meilleurs de la ligue.
Son jeu s'est amélioré au fil des saisons, sa production offensive ne cesse d'augmenter et il prouve à tous qu'il est assurément un premier centre dans la ligue.
Au-delà des statistiques et des performances individuelles, c'est son engagement et sa passion pour le jeu qui méritent d'être célébrés.
Alors que le Canadien semble englué dans sa période de reconstruction, Suzuki représente la promesse d'un avenir glorieux, et il est grand temps que les fans reconnaissent pleinement son talent et son importance pour l'équipe.
Moins "flashy" que Caufield, Slafkovsky et Xhekaj. Voilà pourquoi sa popularité s'en ressent.