Le récent geste de Stefan Noesen envers Juraj Slafkovsky, bien que s'apparentant à un contact de hockey habituel, a mis en lumière un problème fondamental que la LNH doit aborder de manière urgente.

Malgré son apparence extérieure, le point de contact principal de cette mise en échec était la tête, soulignant la nécessité impérieuse de considérer cette zone comme intouchable dans le jeu physique du hockey.

 

 

Cette situation met en évidence un problème qui va au-delà de l'acteur individuel, illustrant plutôt une lacune dans la ligue et la culture du hockey dans son ensemble. Le manque de cohérence et de clarté dans le traitement de ces types de coups souligne l'importance d'une approche plus uniforme et structurée.

Dans des circonstances normales, la LNH aurait dû réagir en imposant une punition pour coup à la tête, et Stefan Noesen aurait dû faire l'objet d'une convocation téléphonique avec le comité de discipline de la ligue. Ces mesures sont essentielles pour décourager de tels gestes dangereux sur la glace.

Le caractère dangereux de ce geste est souligné par les conséquences pour Juraj Slafkovsky, contraint de quitter le jeu pendant au moins 15 minutes pour subir des examens médicaux conformément au protocole des coups à la tête. Cette situation a clairement désavantagé le Canadien de Montréal, soulignant l'absurdité de la situation.

Prenons l'exemple hypothétique de joueurs de renom tels que Connor McDavid. Imaginons une équipe mettant en œuvre une stratégie visant à frapper délibérément McDavid à la tête pour le sortir temporairement du jeu à des moments cruciaux. Une telle approche encourage de manière inappropriée les coups à la tête et menace la sécurité des joueurs.

Comme illustré lors du récent match contre les Hurricanes, le Canadien de Montréal s'est retrouvé privé de Slafkovsky, contraint de suivre le protocole après un coup à la tête. Il est essentiel que la ligue adresse ce problème de manière proactive pour préserver l'intégrité du sport et assurer la sécurité des joueurs.

 

 

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