Normand Flynn doit respirer par le nez.

Le commentateur sportif énergique et passionné, voire surexcité. est bien connu pour son excitation débordant lorsqu'il aborde le sujet de Patrick Roy, l'icône du hockey québécois.

Il avait même affirmé l'avoir vu à Ottawa  en train de manger dans un restaurant de Kanata, alors que les rumeurs envoyaient Roy à Ottawa. Tout le Québec s'était moqué de lui.

Toutefois, il semble que la passion de Flynn ait atteint des sommets tels qu'il doit parfois être rappelé à l'ordre pour éviter de "péter au frette", comme le disent si bien les Québécois.

Lorsque le nom de Patrick Roy est mentionné, Flynn devient une véritable fontaine d'émotions. Sa voix monte, ses gestes deviennent plus expressifs, et il semble prêt à exploser de fierté et d'enthousiasme.

Les auditeurs peuvent presque sentir son coeur qui bat à plein régime. Toutefois, il est devenu évident que cette passion peut parfois atteindre des sommets déconcertants.

Flynn devrait peut-être prendre quelques respirations profondes par le nez, comme une méthode de relaxation, pour éviter de laisser sa passion emporter le contrôle de ses commentaires. Nos conseils sont bien intentionnés. La passion pour Patrick Roy se transforme en haute tension qui compromet la clarté de son discours. Le pauvre Benpît Brunet a reçu des postillons en plein visage.

En même temps, cette passion débordante de Normand Flynn n'est pas nécessairement une mauvaise chose. On doit avouer que Flynn en action, c'est tout un show!

Alors, prenons un moment pour dire à Normand Flynn : "Prends ça cool, Normand. On comprend ta passion, mais n'oublie pas de respirer par le nez et de te calmer de temps en temps.

Après tout, la passion et la maîtrise de soi peuvent coexister harmonieusement, créant ainsi une expérience d'écoute plus équilibrée et agréable pour tous.

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