- Un jour...
- On fera un film sur la carrière de Louis Domingue...
- Parlez-en à Maxim Lapierre et Guillaume Latendresse...
«C’est plus gros que juste le moment qu’il a vécu. Pour moi, je regarde ça, tu as un gars qui est assis là, au Madison Square Garden, théoriquement, on ne sait pas si on va le voir en séries. Tout va bien et là, le gardien des Penguins se blesse. Pour lui, ce n’est pas d’aller remporter le match. Pour lui, c’est d’aller se trouver un contrat pour sa carrière. C’est stressant, parce que c’est pire que de ne pas accorder de but. Lui, il peut étendre sa carrière s’il fait bien les choses et s’il va chercher des victoires. C’est là que tu vois que la LNH ne se tient que sur un fil. Parfois, tu es sur le bord de la porte et un événement survient qui change les choses.» affirme Maxim Lapierre...
«Je regarde aussi la résilience de Louis. Avec le Lightning, il avait 26 victoires en une saison. On ne le renouvelle pas. On le retrouve au New Jersey et il va à quelques endroits. Il signe avec Calgary, il passe 60 jours dans la bulle il y a deux ans. Il ne joue pas… Vraiment, depuis deux ans, il s’est battu et a cherché une façon de retourner dans la Ligue nationale. Il signe un contrat alors que Tristan Jarry et Casey DeSmith sont déjà là. À la date limite des transactions, il y a eu des rumeurs au sujet que les Penguins échangeraient un gardien pour faire de la place à Louis, tellement qu’il impressionne. Là, arrivent les séries éliminatoires. C’est de la résilience depuis tellement de temps. Je trouve que c’est une histoire fabuleuse. Oui, un contrat pour le futur, mais ça va ouvrir des horizons. Ça va ouvrir des opportunités et des yeux pour tellement de personnes, parce que c’est du caractère.» affirme Guillaume Latendresse