- Patrice Bergeron fait PLEURER les gars....

«Quand on vieillit, ça fait partie des responsabilités d’un vétéran. Je parle toujours avec mon cœur, ça vient comme ça vient. Ce n’est rien de nouveau pour moi de parler dans le vestiaire, mais on m’en parle plus puisque les médias ont écrit sur ce sujet.»

«J’essaie de rester concentré sur la tâche, a-t-il continué. La préparation commence maintenant, il faut être prêt pour ce match et garder la routine habituelle. On peut essayer de partager ça avec les plus jeunes. Pour eux, c’est de se rendre compte que sur la glace, tu dois exécuter les mêmes choses, tu t’occupes des mêmes détails. C’est là que ça fait la différence.»

«J’essaie de rester concentré sur la tâche, a-t-il continué. La préparation commence maintenant, il faut être prêt pour ce match et garder la routine habituelle. On peut essayer de partager ça avec les plus jeunes. Pour eux, c’est de se rendre compte que sur la glace, tu dois exécuter les mêmes choses, tu t’occupes des mêmes détails. C’est là que ça fait la différence.»

«On est dans une situation où c’est un rêve d’enfant, il faut se rendre compte de l’occasion qu’on a.»

«Je veux rester concentré sur le moment présen. Pour moi, c’est déjà du passé. Je pense au match numéro 7. Si on s’en reparle dans une semaine, je serai plus ouvert à répondre à la question.»

- Noel Acciari a avoué qu'il avait BRAILLÉ...

«Patrice est le gars le plus humble que tu puisses trouver. Il place toujours l’équipe avant lui, peu importe les circonstances. Son discours était tellement inspirant avant le sixième match. Honnêtement, il y a des gars qui pleuraient en l’écoutant parler. C’était vraiment émotif. Mais nous avions besoin de ça. Patrice a placé l’équipe dans un bon état d’esprit grâce à ça. Il est un grand meneur.»

«Il avait probablement pensé à ce discours depuis plusieurs années. C’était spécial. Je ne rentrerai pas dans les détails, mais il a eu la générosité de partager de belles choses avec nous.»

- Zdeno Chara a tenu à remercier Patrice...

«Nous partageons cette responsabilité. Nous avons un bon groupe de meneurs. Mais je ne resterai pas assis devant mon bureau chez moi afin de préparer le prochain discours. J’y vais plus avec mes émotions quand je me lève pour parler à mes coéquipiers. C’est une question de "feeling" bien souvent. Les actions ont souvent plus de poids que les mots. Mais il y a des moments où tu as besoin de parler avec tes tripes.»

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