- Patrick Roy encore VISÉ de partout...

- ACCUSÉ d'avoir HUMILIÉ son adversaire...

- Dans la victoire de 5-1 contre Rimouski,  Roy a dit à ses joueurs de le temps à écouler le temps en se passant la rondelle dans son territoire sans relancer le jeu.

- Le coach de Rimouski s'est senti «ridiculisé» devant 12 766 spectateurs.

«J’ai trouvé ça très triste, il y a une part de mon respect qui est partie ce soir. Donald Dufresne [son adjoint] qui a gagné la coupe Stanley, qui a roulé sa bosse et qui vient de développer deux des trois meilleurs défenseurs de la Ligue m’a dit: “Ça c’est quelque chose que tu fais sur la route.’’

"L’ironie, c’est que les Remparts appliquent exactement le même échec-avant en zone neutre, un système 1-1-3. On a tenté de nous ridiculiser, de ridiculiser la game devant ses partisans. Il [son vis-à-vis Patrick Roy] va probablement trouver des raisons pour [expliquer] ça, mais pour moi, c’est extrêmement triste ce qu’il a fait là.»

- Patrick Roy était CRAMPÉ après le match..

- Surtout qu'il est un ancien coéquipier de Dufresne chez le Canadien de Montréal.

«C’était une initiative de nos joueurs et je n’ai pas demandé quoi que ce soit. Ils m’ont demandé si ça me dérangeait qu’ils le fassent, et quand on me fait une proposition comme celle-là, je leur donne la liberté de le faire.»

"Notre intention n'a jamais été d’«embarrasser» le club adverse comme le soutient Beausoleil. Il restait sept minutes et les gars voulaient simplement protéger l’avance et on s’est concentré là-dessus. Serge n’est peut-être pas content de la défaite, il pense peut-être qu’il repartirait d’ici à égalité 1 à 1. Nous, on a le même respect pour l’organisation de l’Océanic.»

«On a très bien joué, mais je sais qu’on peut encore mieux jouer. J’ai vu des belles choses, j’ai aimé notre échec-avant et la façon qu’on a géré la rondelle en zone offensive. Défensivement, on a été de loin meilleurs dans nos replis et notre positionnement.»

«Le prochain match sera déterminant dans la série et il faudra être prêt. Je suis obligé de dire qu’ils (l’Océanic) compétitionne bien, ils travaillent bien. Serge fait du bon travail avec son groupe et on n’est pas surpris de ce qu’on voit.»

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