Si Patrick Roy était la place de Martin St-Louis, que se serait-il passé ?

La scène aurait été digne d'un véritable feu d'artifice.

« Patrick Roy aurait mis Josh Anderson dans les gradins », a-t-il déclaré, rappelant à quel point Roy n'accepte pas les lâches.

Alors que Martin St-Louis n,a pas été capable de mettre ses culottes avec Anderson, Roy aurait sans doute opté pour une approche radicalement différente.

Connu pour son tempérament bouillonnant et son exigence sans compromis, Roy n'aurait pas hésité à prendre des mesures drastiques pour faire respecter l'autorité et l'esprit d'équipe.

Dans l'esprit de Roy, l'équipe prime avant tout. Ainsi, si un joueur comme Anderson ne respecte pas les concepts fondamentaux de l'effort il n'aurait pas eu sa place sur la glace.

Et plutôt que de simplement le mettre sur le banc, Roy aurait décidé de le reléguer aux gradins, envoyant un message clair à toute l'équipe : personne n'est au-dessus de l'équipe, et l'attitude et l'engagement sont non négociables.

Cette décision aurait certainement suscité des réactions passionnées et controversées, mais Roy n'aurait pas fléchi. Pour lui, la discipline et le respect des règles de l'équipe sont essentiels pour atteindre l'excellence sur la glace. Et si cela signifiait prendre des décisions impopulaires, Roy est prêt à les assumer pleinement.

Si Patrick Roy avait été l'entraîneur du Canadien de Montréal à la place de Martin St-Louis, la scène aurait été marquée par l'autorité intransigeante d'une légende du hockey.

Au lieu de la gentillesse et parfois la mollesse de St-Louis envers Anderson et ses autres vétérans. Espérons que la saison prochaine, St-Louis ait un peu de Roy dans le nez...

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