La conférence de presse de Patrick Roy a sans aucun doute laissé un goût amer à Jean Perron, qui doit se sentir déprimé en constatant l'absence de mention de son nom par le légendaire gardien.

Patrick Roy a pris le temps d'évoquer les entraîneurs-chefs qui ont marqué son parcours, tels que Pat Burns, Jacques Demers, Marc Crawford et Bob Hartley.

Cependant, l'omission de Jean Perron, qui lui a offert sa première chance en tant que gardien recrue et a conduit les Canadiens de Montréal à la victoire miraculeuse de la Coupe Stanley en 1986, est difficile à ignorer.

Il est clair que le manque de reconnaissance envers Jean Perron est un sujet qui a déjà été soulevé, comme l'a souligné François Gagnon.

La relation entre Patrick Roy et Jean Perron, qui aurait pu être célébrée comme un moment clé dans la carrière du légendaire gardien, semble plutôt avoir été oubliée ou négligée.

Pour Jean Perron, cela peut être ressenti comme un manque de respect, d'autant plus que leur collaboration a abouti à l'un des moments les plus mémorables de l'histoire des Canadiens.

Gagner la Coupe Stanley en 1986 de manière miraculeuse a été un accomplissement majeur pour Jean Perron, mais l'absence de reconnaissance de la part de Patrick Roy pourrait jeter une ombre sur cette réussite.

Le sentiment que ses joueurs auraient ri de lui, comme l'a suggéré François Gagnon, ne fait qu'ajouter à la déception potentielle de Jean Perron.

En fin de compte, le monde du hockey est parfois complexe, avec des relations qui évoluent au fil du temps. Il est possible que des malentendus ou des divergences d'opinions aient joué un rôle dans cette situation.

Néanmoins, pour Jean Perron, qui a contribué de manière significative à la carrière de Patrick Roy et à la réussite des Canadiens en 1986, l'absence de reconnaissance peut être difficile à accepter et peut laisser un sentiment d'injustice et de déception.

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