Le visage de Patrick Roy est devenu rouge comme une tomate, sa colère bouillonnant comme un volcan prêt à entrer en éruption.

L'entraîneur-chef des Islanders de New York, réputé pour sa passion débordante et son impulsivité, s'est laissé emporter par les émotions lors d'un match crucial contre les Penguins de Pittsburgh. Hier soir, dans une bataille acharnée où chaque but comptait, Roy était au bord de l'explosion.

Alors que les « Isles » étaient en plein contrôle, un but contesté de Lars Eller a fait déborder le vase. Roy, convaincu que l'arbitre avait commis une erreur, s'est précipité vers la table des reprises vidéo pour contester la décision, mais en vain.

La frustration l'a submergé, et il a dirigé sa furie non seulement vers l'arbitre, mais aussi vers son propre joueur étoile, Matthew Barzal, une scène capturée par les caméras.

La tempête de colère de Roy s'est intensifiée lorsque les Penguins ont égalé le score en troisième période. Deux buts rapides ont laissé les Islanders sur les cordes, forçant le match à se prolonger. Mais alors que la tension était à son comble, c'est là que la magie a opéré. 

La magie colérique "du Roi".

Dans une séquence digne d'un scénario hollywoodien, le défenseur Adam Pelech a dénoué l'impasse avec un tir des poignets parfait, envoyant la foule des Islanders dans une frénésie à donner des frissons dans le dos.

C'était la fin d'une série de revers pour New York, et une victoire cruciale qui va donner un boost incroyable en pleine course pour les séries éliminatoires.

Pour Patrick Roy, cette soirée en montagnes russes s'est soldée par un résultat positif. Malgré sa fureur et son impulsivité, il a mené son équipe à la victoire, prouvant une fois de plus que parfois, la colère peut être payante.

Lorsqu'il a rencontré les journalistes, il était déjà plus calme. Il avait eu le temps de reprendre ses esprits. Mais on pouvait encore voir la couleur rouge dans son visage.

Roy se prépare déjà pour le prochain match sachant que sa passion brûlante sera toujours un atout pour son équipe, même dans les moments les plus tendus.

Il faut juste qu'il fasse attention à son coeur et à sa pression artérielle. Si on est un membre de sa famille, on commence à s'inquiéter. Il ne faudrait pas que Patrick Roy "pète au frette".

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