Patrick Roy vit un véritable cauchemar à Long Island.
Après une défaite humiliante face aux Ducks par la marque de 3-1, Roy semblait découragé, fatigué, au bout du rouleau.
Jamais de notre vie avons-nous vu "le Roi" être aussi affaibli. De quoi inquiéter ses proches assurément.
Aussi exténué soit-il, cette sortie médiatique a mal passé...tellement il était maladroit avec ses mots.
Les Islanders, actuellement la pire attaque de la LNH, ne peuvent masquer leurs lacunes malgré les efforts de Roy.
Son visage marqué par la fatigue reflète la pression écrasante de cette situation désastreuse. Ce parcours difficile laisse entrevoir un coach au bord de l'effondrement.
On dirait qu'il a vieilli de 10 ans en quelques mois.
Patrick Roy est en chute libre, et l’humiliation de son équipe face aux pauvres Ducks a révélé toute l’étendue du désastre.
Après ce revers cinglant de 3-1 contre une équipe de bas-étage, Roy a tenté d’alléger l’atmosphère avec une blague de désespoir qui a laissé les fans et les médias mal à l'aise :
« On ne peut pas acheter de buts au Walmart. »
Une phrase qui, au lieu de faire sourire, a prouvé l’impuissance et la chute du coach, incapable de trouver des solutions avec un alignement de pauvre.
Le malaise était énorme dans la salle de presse.
Les Islanders, tristement bons derniers en production offensive, sont devenus la risée de la ligue. Plutôt que de reconnaître les lacunes évidentes de son équipe, Roy s’enfonce dans l’excuse facile et le sarcasme.
Pire encore, les Islanders se sont fait blanchir le lendemain par les Blue Jackets de Columbus, incapables d'acheter un but...au Walmart.
La réalité est brutale : 4 défaites à leurs 5 derniers matchs, mais surtout la pire attaque de toute la LNH.
L'alignement que dirige Roy est pauvre, et son style de jeu défensif ne parvient pas à masquer les faiblesses criantes de cette équipe.
Ces défaites à répétition ne sont pas un simple faux pas, mais un symptôme d’un malaise plus profond. Roy a beau évoquer la malchance ou la confiance à reconstruire, la vérité est qu’il manque de solutions tangibles avec une formation de tire-pois.
Son visage, marqué par la fatigue, semble vieilli de dix ans, témoignant du poids qui pèse sur ses épaule dans ce début de saison cauchemardesque.
Chaque défaite élimine un peu plus l’aura du légendaire gardien, maintenant coincé dans le rôle d’un entraîneur incapable de motiver ses joueurs.
Même ses récentes tentatives de jongler avec les trios n’ont fait qu’exposer davantage le manque de créativité et de direction.
Il n'a rien sous la main. Et c'est lui qui en paie le prix.
Les propos de Roy sur l’effort collectif et le besoin de « marquer des buts laids » en attendant le retour de la confiance sonnent comme du déjà-vu.
Les paroles d'unc coach qui doit diriger une équipe vieillisante, lente, sans avenir.
Les partisans des Islanders, eux, ne veulent plus entendre parler d’efforts ou de malchance : ils veulent des résultats.
Et surtout, ils ne veulent pas entendre parle du Walmart.
Mais Roy semble dépassé, avec une équipe qui joue sans âme et un entraîneur qui commence à évoquer les excuses qu’il méprisait autrefois.
La blague du Walmart a été l'étincelle qui a déclenché une pluie de moqueries sur les réseaux sociaux. Les fans, excédés, se demandent s’il ne va pas aussi bientôt demander un rabais sur des idées tactiques au rayon liquidation.
Car en ce moment, l'attaque des Islanders est aussi efficace qu’un panier d’épicerie vide.
Roy, autrefois synonyme de compétitivité et d’excellence, est aujourd'hui un coach aux qui est dos au mur. Sa tentative d’humour n’a pas atténué la pression, mais l’a accentuée.
Ce qui est encore plus inquiétant, c’est que ses propos révèlent un entraîneur qui doute et qui se raccroche à des slogans à deux cennes au lieu de solutions concrètes.
Comme...un certain Martin St-Louis...
À Long Island, la patience des fans a atteint sa limite. Ce n'est plus simplement une crise passagère : c'est un effondrement dans tous les sens du terme.
Roy est à la croisée des chemins déjà. S'il ne trouve pas rapidement une issue, c'est toute son image qui risque de s'écrouler avec lui.
Un peu plus et on va voir un poster de lui au Walmart.
Le problème, c’est que même un génie du hockey ne peut faire des miracles avec une équipe aussi mal construite.
Le plus étonnant dans tout ça, c'est que certains fans sur les réseaux sociaux s'en prennent à lui, alors qu'il n'est aucunement responsable d'avoir mis cette équipe de viellards sur la glace.
Certains partisans des Islanders commencent déjà à se moquer :
« Bientôt, on le verra lui aussi dans un panier à Walmart, avec un rabais sur sa légende. »
Cette blague cruelle reflète la désillusion profonde à Long Island et le visage du Roi qui doit commencer à regretter d'avoir signé avec une équipe sans avenir.
Le DG Lou Lamoriello, 82 ans et toutes ses dents, est le grand coupable des malheurs de Roy. Il devrait avoir honte de laisser une légende du hockey ternir son héritage de cette façon dans une situation de plus en plus malaisante.
Au final, c'est Lou Lamoriello qui devrait prendre sa retraite et aller passer ses dimanches...au Walmart....