Il est difficile d'ignorer l'image de Daniel Alfredsson comme l'ennemi de Patrick Roy dans sa quête de devenir entraîneur-chef des Sénateurs d'Ottawa.

Le nom d'Alfredsson résonne de plus en plus fort comme le successeur potentiel de Jacques Martin à la barre des Sénateurs d'Ottawa lorsque l'entraîneur-chef intérimaire va laisser sa place.

Daniel Alfredsson, la figure emblématique des Sénateurs, est le symbole ultime de cette organisation. Sa carrière et sa loyauté envers les Sénateurs fait foi de tout.  

il est maintenant sur le point de franchir une nouvelle étape en devenant l'entraîneur-adjoint de Jacques Martin...une image qui vaut mille mots...

Alfredsson est assurément devenu le favori incontesté pour occuper le poste d'entraîneur-chef la saison prochaine si tout se passe bien avec Jacques Martin pour le reste de la saison.

Cette image n'est pas au goût de Patrick Roy, La simple mention du nom d'Alfredsson comme successeur potentiel de Jacques Martin est synonyme de douche froide pour "Casseau".

Patrick Roy voit en Alfredsson non seulement un concurrent potentiel, mais aussi un obstacle sur son chemin vers un poste d'entraîneur-chef dans la ligue.

La compétition pour ces postes prestigieux est féroce, et l'idée qu'Alfredsson puisse avoir un accès direct à ce rôle sans trop d'obstacles n'est certainement pas une bonne nouvelle pour Roy.

Alors que les spéculations sur le futur entraîneur-chef des Sénateurs persistent, il est indéniable que l'ombre d'Alfredsson plane de plus en plus sur Patrick Roy. 

Alfredsson va avoir une "passe gratuite" vers le poste d'entraîneur-chef, comme Martin St-Louis à Montréal, alors que des hommes comme Patrick Roy ont trimé dur dans le junior.

Voilà qui est injuste. Mais dans le sport professionnel, il n'y a pas de justice. 

Surtout que Roy avait la chance lui aussi d'avoir un accès direct dans la LNH en devenant l'entraîneur-chef de l'Avalanche du Colorado.

Joe Sakic lui a servi l'emploi sur un plateau d'argent. Et au final, l'impulsivité de Roy a tout gâché. Il mérite une 2e chance. Mais plus ça va, plus on sent que ce ne sera pas à Ottawa.

À Columbus peut-être? Allez savoir. Plus le temps passe, mois Roy y croit assurément...

Votre Voix