- Seth Jarvis à Montréal?

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«Je vais être honnête avec toi, par le passé, j’ai eu des joueurs qui ont affiché des statistiques phénoménales dans le junior, mais je voyais certains aspects de leur jeu qui ne se transposeraient pas dans la LNH. Ils n’étaient pas assez compétitifs, ils n’avaient pas la vitesse ou ils n’avaient pas une approche professionnelle ou encore la résilience nécessaire.» affirme son coach à Portland (Winterhawks), Mike Johnston.

«Mais il n’y a pas vraiment de failles dans le jeu de Jarvis. Les recruteurs me demandent quelles sont ses faiblesses et je réponds franchement : "Écoute, je ne suis vraiment pas capable d’en trouver, le jeune coche toutes les cases."»      

«La plupart des vedettes dans le junior ne sont pas forcément des joueurs de premier plan à court d’un homme. J’ai dit aux recruteurs qu’à sa première année dans la Ligue, il peut jouer au sein du troisième ou du quatrième trio. Il peut tout faire. Il peut écouler des punitions et tu peux le déployer en fin de match, il est responsable.» 

«Ses mains et ses pieds peuvent travailler de façon indépendante dans le tempo d’un match, ce qui lui permet de faire mine d’aller vers l’extérieur avant d’attaquer le centre de la glac. C’est une caractéristique qu’on retrouve chez tous les attaquants de la LNH qui sont dominants en zone neutre, comme Nikolaj Ehlers, William Nylander, Mathew Barzal et Nathan MacKinnon.» 

«Ce n’est pas Connor McDavid, mais il joue à un tempo élevé. Glass et Johansen, deux joueurs que j’ai dirigés, aimaient ralentir le jeu et attirer des gens vers eux. Ce gars-là joue à pleine vitesse. Il pivote adroitement, il est vif dans ses virages.» 

«Il a fait un gros bond lors de la deuxième moitié du calendrier. Au début, je le trouvais bon et je le voyais probablement sortir vers la fin du premier tour. Puis, il a décollé, il a simplement atteint un autre niveau. Il a montré à tout le monde qu’il pouvait transporter une jeune équipe.» 

«Il a pris un pouce et demi et presque 15 livres au cours de l’année, donc il commence à vraiment à "remplir" sa charpente»,

«Je le vois plus comme un ailier. Ça lui donne plus de liberté pour attaquer les espaces libres avec sa vitesse. Même si je ne le vois pas nécessairement comme un centre, je dirais qu'il est un peu comme Brayden Point. Ou Artemi Panarin [qui lui joue à l'aile].» 

Paul Byron sur les STÉROÏDES....

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