Nos pensées sont de tout coeur avec l'amoureuse d'Ivan Demidov.
L’intervention du journaliste Maxime Truman prouve un aspect fondamental du prodige russe Ivan Demidov : sa vie hors-glace.
Si la pression d’un jeune talent au sein du Canadien de Montréal est déjà colossale, la stabilité personnelle d’un joueur peut faire toute la différence entre une carrière réussie et une trajectoire déraillée par les tentations et les distractions.
Truman a dressé un portrait élogieux de la copine de Demidov, Ekaterina Yakovleva, la présentant comme une femme solide, ancrée et à mille lieues du monde des influenceuses et des vedettes d’OnlyF qui gravitent autour des joueurs de la LNH.
Voici l'extrait vidéo du balado Stanley25 qui décrit en long et en large la douce du prodige russe:
Ou des barmaids...du Flyjin...
Il n’a pas hésité à la comparer à Sofia Krasovskaya, la femme d’Alex Romanov, un modèle de discrétion et de stabilité.
Lorsque Romanov est arrivé à Montréal, il était un fantôme en dehors de la glace : pas de sorties tapageuses, pas d’excès, pas d’histoires compromettantes dans les bars de la métropole.
Résultat ? Une carrière sans embûches et une vie bien rangée, qui lui a permis de se concentrer exclusivement sur son développement.
Demidov semble taillé dans le même moule. Son attitude face à l’adversité est exemplaire. Lorsque son coach lui a mis des bâtons dans les roues, il n’a pas cherché à se plaindre ou à provoquer des polémiques inutiles.
Il a fait ce que tout joueur discipliné doit faire : fermer sa bouche, prouver sa valeur sur la glace, et laisser ses performances parler pour lui.
Cette maturité est précieuse pour un joueur qui débarque à Montréal avec le poids de l’espoir des partisans sur ses épaules.
Mais il y a un problème majeur : l’obstacle du visa canadien pour sa copine. Dans le contexte géopolitique tendu entre le Canada et la Russie, la situation est loin d’être gagnée d’avance.
Lorsqu’Ivan Demidov a été repêché par le Canadien de Montréal, il lui était tout simplement interdit d’entrer au Canada en raison de l’absence de visa. (même un visa de touriste)
Malgré l’importance du CH et son statut mythique en LNH, le jeune prodige russe n’a même pas pu mettre les pieds à Montréal durant l’été pour découvrir la ville qui l’accueillera.
Si même un joueur de ce calibre rencontre autant d’obstacles pour obtenir un simple droit d’entrée, on peut facilement imaginer à quel point ce sera compliqué pour sa conjointe.
Le Canadien est déjà en train de jongler avec un casse-tête administratif pour permettre à son espoir de s’intégrer au mieux, et la question de son environnement personnel pourrait rapidement devenir une source d’inquiétude.
Un joueur bien entouré est un joueur performant, mais encore faut-il que le gouvernement canadien lève les barrières bureaucratiques qui rendent cette situation encore plus complexe.
Justin Trudeau s’est récemment positionné fermement contre Donald Trump sur la question ukrainienne, adoptant une ligne encore plus dure à l’égard de Moscou.
Cela risque d’avoir des répercussions directes sur les demandes de visa des citoyens russes, y compris celle de la blonde de Demidov.
Or, pour assurer le bien-être de son jeune joueur étoile, le Canadien de Montréal doit absolument trouver un moyen de faire aboutir cette demande.
L’histoire récente a prouvé que l’environnement personnel d’un joueur influence grandement sa performance. Un Demidov heureux à la maison sera un Demidov dominant sur la glace.
Le CH doit donc user de toutes les ressources à sa disposition pour éviter que cette situation ne devienne un casse-tête administratif qui pourrait affecter son joyau offensif.
La venue d’Ivan Demidov représente un tournant majeur pour l’avenir du Canadien. Il ne faudrait pas que des tracasseries bureaucratiques viennent perturber cette transition.
Car si Montréal veut voir le Russe briller au plus haut niveau, il doit être bien entouré. Et sa copine joue un rôle clé dans cet équilibre.
L’engagement inébranlable du Canada en faveur de l’Ukraine, réaffirmé avec force par Justin Trudeau lors du sommet du G7 à Kyiv, pourrait avoir des conséquences bien réelles pour Ivan Demidov.
Plus précisément, cet alignement politique complique sérieusement la possibilité pour sa copine d’obtenir un visa canadien, un enjeu majeur qui risque d’affecter l’intégration du jeune prodige russe à Montréal.
Depuis le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022, le Canada s’est positionné comme l’un des alliés les plus fervents de Kyiv.
Trudeau a non seulement condamné avec fermeté Vladimir Poutine, mais il a également annoncé un nouvel envoi de 5 milliards de dollars en aide à l’Ukraine, utilisant des fonds issus d’actifs russes saisis.
Cette posture a fait du Canada un acteur central dans la lutte contre l’influence russe sur la scène internationale, ce qui a inévitablement contribué à une politique migratoire plus stricte à l’égard des ressortissants russes.
Or, dans ce climat tendu, chaque demande de visa en provenance de Russie fait l’objet d’un examen minutieux, et l’histoire récente montre que les autorités canadiennes n’hésitent pas à poser des obstacles bureaucratiques à ceux qu’elles jugent trop proches du Kremlin.
Il ne s’agit pas seulement d’un cas isolé : depuis 2022, plusieurs demandes de visa, même pour des athlètes ou des figures apolitiques, ont été refusées ou retardées sous prétexte de “sécurité nationale” ou de “relations diplomatiques tendues”.
C’est dans ce contexte que la copine d’Ivan Demidov se retrouve confrontée à un véritable casse-tête. Contrairement à d’autres compagnes de joueurs, qui n’ont qu’à remplir des formalités de routine pour suivre leur conjoint, elle doit composer avec un parcours semé d’embûches administratives.
L’alignement pro-ukrainien du Canada rend toute demande en provenance de Russie suspecte aux yeux des services d’immigration.
Ce qui complique encore plus la situation, c’est la déclaration récente de Justin Trudeau en Ukraine, affirmant que le Canada restera un “partenaire indéfectible” de Kyiv et que “cela ne changera jamais”.
Autrement dit, le gouvernement canadien ne veut pas apparaître comme étant conciliant avec la Russie sur aucun front, y compris en matière d’immigration.
Face à ce problème, le Canadien de Montréal devra peut-être intervenir pour s’assurer que son jeune joyau puisse évoluer dans un cadre de vie stable.
Maxime Truman a bien souligné l’importance de cette relation dans la vie de Demidov : sa copine n’est pas une influenceuse de bas étage cherchant à tirer profit de son statut, mais bien une femme solide et ancrée.
Romanov, en partie grâce à cette stabilité familiale, avait su éviter les distractions de la vie nocturne montréalaise et se concentrer uniquement sur son jeu.
Or, si la blonde de Demidov est empêchée de venir au Canada, cela pourrait affecter le moral et la performance du jeune attaquant.
Le CH, soucieux d’entourer ses joueurs dans un environnement propice à la réussite, devra peut-être faire pression sur les instances gouvernementales pour accélérer le processus.
Dans un monde idéal, les considérations sportives devraient primer sur la politique étrangère, mais dans le contexte actuel, rien n’est moins sûr.
Alors que l’administration Trudeau continue de durcir le ton face à la Russie, la demande de visa de la copine d’Ivan Demidov pourrait bien devenir un dossier épineux.
Si elle est refusée, cela mettrait Demidov dans une situation inconfortable : rester seul à Montréal, loin de son soutien le plus important, ou trouver une alternative qui pourrait le forcer à faire des allers-retours constants entre le Canada et l’étranger.
Reste à voir si le CH et la LNH réussiront à contourner ces embûches diplomatiques, ou si la politique canadienne viendra compliquer l’adaptation du jeune prodige russe à Montréal.
Connaissant Nick Bobrov, il est déjà sur le dossier.
