- Pierre-Luc Dubois CALME la tempête...

- Il s'entend bien avec John Tortorella, même si tout le monde se souvient de la scène où le coach l'engueule comme un SAC à M...

«Oui, je me souviens de la scène. Il m’avait crié après au banc de l’équipe. Il y a des gars qui réagiraient probablement différemment. Pour les partisans, ça peut aussi sembler étrange. Mais ce n’était pas une première pour moi. Je connais le tempérament de John et il connaît aussi mon caractère. Je le respecte comme coach. Il est exigeant et il veut sortir le meilleur de ses joueurs.»

«Il y a aussi un côté business à tout ça. C’est le coach qui assemble les trios et qui décide qui joue. Les joueurs, nous sommes payés pour jouer, pas pour prendre des décisions. Pour être honnête, je n’étais pas plus motivé lors du match suivant. Ça ne m’a pas dérangé. Ce n’était pas la première fois que ça arrivait et ce ne sera pas la dernière fois. John est comme ça. Nous sommes deux personnes très compétitives et nous avons le même objectif, la victoire.»

«Dans les séries, tu n’as pas besoin d’une motivation de plus. Si tu manques de motivation, tu ne fais pas le bon sport.»

« Pour ce qui est de mon contrat, le plafond salarial qui reste gelé, je ne pense pas que ça change les données. Notre stratégie reste la même. La masse salariale n’a pas augmenté. Il y a des équipes comme Tampa et Vegas qui ont des problèmes avec la gestion de leur masse salariale. Ce n’est pas le cas pour les Blue Jackets. Ils ont encore un bon coussin avec près de 14 millions $ sous le plafond» (12,025 selon le site Capfriendly).

«Je veux un contrat qui me rendra heureux. Je suis bien à Columbus. Nous avons une bonne équipe. Nous ne sommes pas loin de trouver la recette pour gagner. Pour parler des années ou de l’argent, ça reste plus des questions pour mon agent [Pat Brisson]. Je lui fais confiance pour gérer ce dossier.»

«J’aimerais m’établir comme un attaquant qui récolte près d’un point par match. C’est possible d’y arriver. Cette année, ma production ressemblait à celle de 2018-2019, où j’avais eu 61 points, mais en 82 matchs. Mais il y a deux ans, je jouais avec l’un des meilleurs joueurs de la LNH en Artemi Panarin. Nous avions aussi un système de jeu plus offensif. Dans la dernière saison, nous avons resserré notre jeu. Nous avions une mentalité défensive en premier. C’était la clé pour rester une bonne équipe. Dans un tel contexte, ce n’est pas toujours facile d’avoir de gros chiffres offensifs.»

Votre Voix