Une ombre plane sur les Kings de Los Angeles, et son nom est désormais prononcé avec une pointe d'amertume dans le vestiaire : Pierre-Luc Dubois.

La dernière défaite des Kings face aux Sabres de Buffalo, une rencontre où Los Angeles menait 3-1 à domicile pour finalement s'incliner 5-3, a amplifié les tensions qui couvaient déjà.

Drew Doughty, le vétéran défenseur des Kings, n'a pas mâché ses mots après cette défaite frustrante. Dans un discours chargé de reproches à peine voilés, Doughty a pointé du doigt plusieurs joueurs qui semblent plus préoccupés par leurs statistiques personnelles que par le succès de l'équipe.

Mais il était clair pour tous dans la chambre que Doughty visait principalement Pierre-Luc Dubois.

Le Québécois avait pourtant suscité de grands espoirs lors de son arrivée. Mais ses performances horribles, mélangées avec son attitude de diva, marquées par un manque d'implication défensive et une obsession pour son petit nombril, ont semé le doute dans l'esprit de ses coéquipiers.

Pourtant, il a marqué l'un de ses rares buts hier en avantage numérique. 

Mais le Québécois a triché durant toute la 3e période, oubliant de jouer défensivement et tentant seulement d'engraisser sa fiche.

La déception et le ressentiment sont évidents chez les Kings, où l'harmonie qui régnait la saison précédente semble s'être évanouie.

Doughty, pilier de l'équipe et voix respectée dans le vestiaire, exprime ouvertement ses craintes quant à l'impact négatif de Dubois sur la dynamique de l'équipe.

Cette situation laisse planer un sentiment d'urgence à Los Angeles. Alors que la course aux séries bat son plein, les Kings se retrouvent soudainement en proie à la perspective de les rater.

La "malédiction Dubois", comme certains commencent à l'appeler, semble s'abattre implacablement sur l'équipe, compromettant ses chances de succès.

À moins d'un revirement rapide et significatif, les Kings pourraient se retrouver confrontés à une fin de saison amère et décevante.

Et alors que les regards se tournent vers Pierre-Luc Dubois, la pression monte pour qu'il réponde aux attentes et qu'il comprenne enfin la notion de devenir un joueur d'équipe.

Comme on dit au Québec...il a été envoyé sous l'autobus...

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