- OUCH..
- John Tortorella traite Pierre-Luc Dubois...
- De PRIMA DONNA....
« Il y a les prima donna, ceux qui ne sont pas capables d’attendre leur tour, a-t-il donné en exemple. Mon travail, et je le prends au sérieux, c’est de monitorer l’attitude, l’effort des joueurs, le genre de coéquipiers qu’ils sont, leur manière d’adhérer au concept d’équipe… »
« Je crois qu’il est important de suivre nos athlètes quotidiennement. Je ne pense pas qu’il faille en faire un grand cas. [Dubois] est un gars parmi d’autres dans une formation de 23 joueurs. Je les traite sans égard à l’argent qu’ils gagnent, leur rang de repêchage, qu’ils soient joueurs autonomes ou non ou qu’ils jouent sur le premier ou le quatrième trio. »
« On vit et on meurt avec le concept d’équipe. Je n’ai pas cloué Dubois au banc à cause d’une seule présence. Ça répond à ce qu’il fait depuis quatre ou cinq matchs. Je dirige des athlètes, je ne vais pas permettre que notre culture change. C’est ce qui nous a permis de survivre dans cette ligue et de devenir une meilleure équipe et d’accéder aux séries éliminatoires, et c’est ce qui va nous permettre de progresser en séries dans le futur. »
Tortorella a insisté sur le fait que la situation de Dubois n’a rien à voir avec celle de Sergei Bobrovsky et d’Artemi Panarin, au début de la saison 2018-2019. À l’époque, les deux joueurs russes amorçaient la dernière année de leur contrat et n’étaient qu’à quelques mois de devenir joueurs autonomes sans compensation. Au cours d’une rencontre en début de saison, ils ont exprimé à la direction qu’ils ne comptaient pas rester à Columbus l’année suivante.
« Panarin et Bobrovsky nous ont dit au début de l'année qu'ils ne resteraient pas à Columbus. Ils ont tout donné sur la glace. Ce sont deux vrais professionnels. La présente situation, c’est celle d’un jeune joueur, pas celle d’un joueur autonome. C’est à lui de gérer la situation. On a été honnêtes avec lui, on a eu cette rencontre. Le reste lui revient sur la glace. »
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