Revanche à Montréal: l’amoureuse de Lane Hutson répond aux mauvaises langues

Revanche à Montréal: l’amoureuse de Lane Hutson répond aux mauvaises langues

Par Marc-André Dubois le 2025-07-26

C’était censé être la journée de Nick Suzuki. Le capitaine du Canadien de Montréal disait "oui" à sa conjointe, Caitlin Fitzgerald, devant parents, amis, coéquipiers et quelques caméras bien discrètes. Une célébration d’amour, de fidélité, de classe.

Mais dans l’ombre dorée de cette journée parfaite… une autre histoire prenait forme. Un autre couple, moins connu, mais tout aussi touchant, a fait parler de lui : Lane Hutson et sa conjointe, Kylie Roberts.

Et pas à cause d’un scandale. Pas à cause d’une controverse. Juste à cause… de sa robe. Et de sa beauté renversante. Kylie Roberts, dans sa robe noire élégante, a fait tourner toutes les têtes.

Et elle l’a fait sans un mot. Sans story Instagram. Sans poser devant les caméras.

Elle a simplement marché aux côtés de Lane, bras dessus bras dessous, belle, fière, assumée. Et le message était clair :

« Continuez à jaser, les haters. Moi, je suis là. Et je ne vais nulle part. »

Souvenez-vous. Il y a quelques mois, les premières photos de Lane Hutson avec sa copine ont fait surface sur les réseaux sociaux. Cela avait dérapé.

Pas de “like” gentil. Pas de “cute couple”. Non. Des dizaines de commentaires aussi stupides que cruels.

« Juste correcte pour un contrat d’entrée. »

« Il changera de blonde quand il signera à 10 M$… »

« Même pas blonde?! »

Pire encore, un usager est allé jusqu’à dire que le fait que Lane sorte avec une fille “juste correcte” était une bonne nouvelle pour le CH : ça voulait dire qu’il accepterait peut-être un contrat “average” lui aussi. 

Comme si la valeur d’un humain se mesurait à la coupe de cheveux ou au maquillage de sa conjointe.

Pas besoin de chercher bien loin : c’est un portrait navrant de ce que certains amateurs de hockey se permettent encore de dire, cachés derrière un écran.

Parce que ce que ces commentateurs ignoraient, c’est que Kylie Roberts n’est pas « juste » une blonde.

C’est une joueuse de hockey universitaire, à Boston University. Une patineuse élite, qui évolue dans un des meilleurs programmes NCAA aux États-Unis. Une fille qui s’entraîne, qui sacrifie, qui compétitionne.

Une fille qui comprend exactement ce que vit Lane Hutson. Elle ne joue pas à la spectatrice dans sa vie. Elle vit les mêmes horaires, les mêmes efforts, les mêmes blessures, les mêmes triomphes.

Elle ne vit pas autour de Lane. Elle vit avec lui.

Et ça change tout.

Le contrat? Elle s’en fout. L’amour, c’est maintenant.

Et pendant que tout le monde parle de l’éventuel contrat de 80 millions $ que Hutson pourrait signer, Kylie, elle, est là.

Pas dans dix ans. Pas quand ce sera « le moment de s’acheter un yacht. »

Maintenant. Pendant que Lane est encore dans son contrat d’entrée. 

Et franchement? C’est ça le vrai luxe. Être avec quelqu’un qui t’aime pour qui tu es, pas pour ce que tu pourrais signer un jour.

La réponse la plus classe à la haine : exister, avec élégance.

Et c’est exactement ce que Kylie Roberts a fait, samedi, au mariage de Nick Suzuki. Elle s’est présentée dans une robe noire superbe, sans en faire trop. Elle a laissé parler son élégance naturelle. Son calme. Son assurance. Sa beauté discrète.

Et elle a montré au monde entier, sans dire un mot, qu’elle est bien dans sa peau. Bien dans sa relation. Et fière d’être au bras de Lane Hutson.

Et Lane, lui, était tout sourire. Il marchait avec elle comme un gars heureux, confiant, amoureux. Pas comme une superstar. Comme un jeune homme de 21 ans qui sait ce qu’il a.

Et c’est peut-être ça le plus beau. Voir que dans un monde obsédé par les millions, les likes et les images retouchées, certains couples respirent encore la simplicité et la vérité.

On ne vous mentira pas. Dans la foule des invités, plusieurs regards ont glissé vers Kylie. Même si Caitlin Fitzgerald était la star du jour, plusieurs se sont échangé des clins d’œil, des « bro, check ça », des sourires entendus.

Parce que Kylie Roberts, c’est ça. Une prestance. Une beauté naturelle. Et surtout, une vibe rare : la force tranquille. Celle qui ne cherche pas la lumière, mais qui l’attire quand même.

Et pour ceux qui doutaient encore de l’impact qu’elle peut avoir sur Lane… regardez-le jouer. Regardez-le progresser. Il a la tête froide. Il ne s’éparpille pas. Il est focus. Et dans un marché comme Montréal, ce n’est pas rien.

Kylie Roberts a répondu… sans rien dire. Juste en étant là. Juste en étant elle-même. En marchant fièrement au bras de l’un des jeunes espoirs les plus importants de l’organisation.

Et franchement? On espère qu’elle restera longtemps. Parce que si elle est aussi solide que Lane l’est sur la glace, alors le CH vient de repêcher un duo gagnant.

Dans un monde où les photos sont filtrées, où les commentaires fusent plus vite que les passes de Cole Caufield, il faut parfois juste prendre une pause.

Et regarder un couple comme Lane et Kylie.

Deux jeunes qui s’aiment. Qui se respectent. Qui avancent ensemble.

Et qui nous rappellent que derrière les contrats, les négociations, les trophées et les millions… il y a des humains. Des vrais.

Alors à Kylie Roberts : merci. Merci d’avoir rappelé à tout le monde qu’on n’a pas besoin d’être une vedette Instagram pour être magnifique.

Et à Lane Hutson : t'as scoré. Et pas juste sur la glace.

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